Des chercheurs italiens ont récemment publié, dans le journal «Environnemental Health Services», une nouvelle étude.
Elle montre que l’Aspartame pourrait causer des leucémies, des lymphomes et des cancers du sein chez les rats.

Lien Aspartame Cancer: Étude
L’Administration US pour l’Alimentation et les Médicaments [FDA: Food and Drug Administration] dit qu’il n’y a pas besoin de réexaminer en urgence la non dangerosité de l’Aspartame, malgré une nouvelle étude montrant que cet édulcorant peut causer le cancer.
Après, que des chercheurs italiens ont publié une nouvelle étude, un groupe de consommateurs US appelle à ce réexamen.
Elle montre que l’Aspartame, largement utilisé dans les boissons non alcoolisées, pourrait causer des leucémies, des lymphomes et des cancers du sein chez les rats.
Le directeur, Michael Jacobson, du Centre pour les Sciences dans l’Intérêt du Public (CSPI) déclare:
«C’est la deuxième étude par le même laboratoire, qui montre que l’Aspartame cause le cancer chez les rats».
L’Aspartame est utilisé principalement dans des boissons non alcoolisées.
Mais, cette substance est aussi vendue en paquets à utiliser dans le café, le thé et dans de la nourriture.
Morando Soffritti de la Fondation Ramazzini à Bologne Italie, [http://www.ramazzini.it] et des collègues ont testé l’Aspartame chez les rats.
Ils les ont laissé vivre, jusqu’à ce qu’ils meurent naturellement.
Leur étude de plus de 4000 rats a montré qu’une vie passée à absorber de hautes doses de cet édulcorant accroissait la possibilité de développement de plusieurs types de cancer.
L’équipe de Soffrotti dans le journal «Environnemental Health Services» a écrit:
«En s’en tenant à ces découvertes actuelles, nous croyons qu’un réexamen des régulations actuelles gouvernant l’utilisation de l’Aspartame ne peut être repoussé».
Publication faite par le National Institute of Environmental Health Sciences, US (Institut National des Sciences de la Santé Environnementale).
«Ce réexamen est particulièrement urgent, en ce qui concerne les boissons contenant de l’Aspartame, consommés en quantité par les enfants.»
Le porte parole de la FDA Michael Herndon a dit que l’agence n’avait pas encore examiné l’étude.
Herndon dans un email a dit:
«Cependant, les conclusions de cette deuxième étude de la ‘Fondation Européenne Ramazzini’ ne sont pas en accord, avec celles d’un grand nombre d’études sur l’Aspartame évaluées par la FDA; dont 5 études négatives menées sur la carcinogénicité chronique».
«Par conséquent, actuellement la FDA n’a aucune raison de modifier sa conclusion précédente, que l’Aspartame est sans danger, lorsqu’elle est utilisé généralement comme édulcorant dans la nourriture.»
Jacobson a dit que tous les chercheurs des études précédentes tuaient les rats à l’âge de deux ans.
Permettre aux rats de vivre plus longtemps peut être une meilleure façon d’estimer le risque naturel de cancer a-t-il dit.
Le CSPI a dit, que la consommation quotidienne acceptable d’Aspartame aux États-Unis est de 50 mg par Kg/poids; ce qui équivaut pour un enfant de 20 Kg à boire 2,5 cannettes de boissons non alcoolisées par jour, ou pour un adulte de 68 Kg, 7,5 canettes par jour.
Les chercheurs italiens ont trouvé un risque de cancer, aux taux les plus élevés; le double de ce qui est acceptable quotidiennement aux US.
Merisant, qui fabrique Equal, a dit dans un communiqué sur son site internet:
«l’absence de danger de l’Aspartame a été confirmée par les autorités de régulation, dans plus de 100 pays; dont la FDA aux US, Health Canada, et Le Comité Scientifique sur l’Alimentation de la Commission Européenne; de même, que par des experts auprès de l’Organisation de l’Alimentation et de l’Agriculture de l’ONU et de l’OMS.»
Jacobson a dit, que les gens devraient éviter ce produit pour le moment.
Il a conseillé:
que «Les gens ne devraient pas paniquer, mais ils devraient arrêter d’acheter des boissons et des nourritures contenant de l’Aspartame».
Source Reuters repris par www.smh.com au 26/06/07
Traduction Mireille Delamarre pour www.planetenonviolence.org, [archive]
Site de René Bickel: http://www.bickel.ouvaton.org
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L’aspartame est dangereux pour la santé
Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédannés, tel que l’aspartame, sont meilleurs que le sucre pour votre santé? Grave erreur…

À première vue, c’est génial: se sucrer le bec sans subir l’inconvénient des calories! Cependant, La liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits “diète”. Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau.
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau.
En 1983, 2,1 % des cancers chez les hommes se situaient au cerveau.
L’incidence est passée à 8,1 % pour ces messieurs(1987), grimpant même à 11,7 % chez les femmes!
En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame.
Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.

Additif ou médicament?
L’aspartame est découvert par hasard en 1965, au laboratoire Searle, (aux États-Unis) par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères.
En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré.
Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers.
Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants.
En 1981, l’aspartame est autorisé dans les aliments secs; puis, dans les boissons gazeuses en 1983.

Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d’Égal, l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique.
Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose.
Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche.
Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques!
En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsanto, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques.
Des études coûteuses
C’est en 1974, que l’aspartame est approuvé pour la première fois.
À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée.
Depuis, ces études n’ont jamais été réfutées.
En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame.
Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études “bidons”, qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes … qui sera plus tard engagé par Searle!
Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise.
Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude!
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame.
Ses observations parlent d’elles-mêmes; parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame.
Et 100 % d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit!
Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l’usage de cet édulcorant.
L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique.
Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsanto n’est pas prête de lâcher le morceau.
Des effets secondaires troublants
La liste des effets secondaires liés à la consommation d’aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête!
En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus compiler les plaintes).
Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires.
Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l’ingestion de boissons à l’aspartame.
Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès!
Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit.
Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame.
Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
Aspartame et gain de poids
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité).

Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit. Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu’ils ont déjà “économisé”…
Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
Diabétiques, s’abstenir
Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des “vertes et des pas mûres” avec l’aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.).
De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l’erreur ignoraient que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
Quoi faire?
. Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent – dont l’aspartame – au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.
· Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.
· Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l’aspartame s’est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
Où se cache-t-il?
En 1992, l’aspartame apparaissait dans plus de 4200 produits alimentaires aux États-Unis: certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent.
Les pires: les boissons gazeuses “diète”, les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre.
Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré “sans sucre” et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées; ce qui se produit, quand on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café), ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce.
La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
Sources
Plusieurs groupes de pressions, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité.
Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.
L’adresse: http://www.dorway.com
Le site de NutraSweet, filiale de Monsanto http://www.nutrasweet.com/html/index.html
Ce texte a été publié à la base dans le magazine Guide Ressources de janvier 1999.
Voir aussi Aspartame Consumer Safety Network
Source du l’article sur www.aliv-e.com/fr ICI, ajout des images par Neilly
Mises à jour et autres

- Mr Rumsfeld, l’ancien secrétaire d’état à la défense, dont personne n’ignore les liens avec la société Gilead, propriétaire du brevet intellectuel du TAMIFLU..’, le médicament contre la grippe qui a provoqué des morts subites et des accidents vasculaires cérébrals – Relevés sur grippe porcine, H1N1
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Aspartame: Le mal caché du siècle
Comment s’est-on aperçu que l’aspartame est nocif pour la santé?

Comme on peut le constater à la lecture de 2 articles parus en 95 dans le magazine américain Nexus
(Pour en savoir plus, il est recommandé de prendre connaissance de la traduction de ces articles disponibles sur: http://www.cybernaute.com/earthconcert2000/AspartameTruth.htm).
Les toutes premières études des effets de l’aspartame sur des singes menées en 1969 par le Dr. Harry Waisman révélèrent sans équivoque sa nocivité.
Plusieurs autres études indépendantes ont depuis corroboré ce fait.
Mais l’aspartame a tout de même été approuvé.
Comment?
Le comité de la FDA (Food and Drug Administration) américaine chargé d’étudier les demandes d’approbation de nouveaux produits s’est refusé durant 16 ans à autoriser l’usage de ce produit dans l’alimentation humaine en raison des études démontrant sa nocivité.
Mais l’ancien président Ronald Reagan, un ami du président de la compagnie Searle qui a concocté l’aspartame (Searle a depuis été rachetée par Monsanto, la tristement célèbre multinationale ayant mis au point de nombreuses plantes transgéniques), a mis à la porte de la FDA le commissaire en chef qui refusait à l’époque de faire approuver l’aspartame contre l’avis de ses propres experts.
Il a nommé à sa place le Dr. Arthur Hull Hayes qui lui n’a pas eu la moindre hésitation à imposer en 1986 l’approbation de l’aspartame en dépit de l’opposition initiale d’une majorité de membres du Comité d’évaluation de la FDA.
Peu après, ce triste personnage démissionnait et était engagé à fort salaire par la firme de relations publiques de Searle.
Depuis il a systématiquement refusé de faire toute déclaration publique à ce sujet.
Suite sur earthrainbownetwork.com
Voici la liste complète des problèmes de santé que l’aspartame engendre ou aggrave
- Crises d’épilepsie ou d’apoplexie et convulsions
- Étourdissements et vertiges
- Tremblements
- Migraines et violents maux de têtes (déclenchés ou causés par une consommation chronique)
- Pertes de mémoire (un des effets fréquents de la toxicité de l’aspartame)
- Difficulté d’élocution
- Confusion
- Engourdissements ou fourmillements dans les extrémités
- Fatigue chronique
- Dépression
- Insomnie
- Irritabilité
- Accès de panique (réaction courante à la toxicité de l’aspartame)
- Changements de personnalité profonds
- Phobies
- Rythme cardiaque rapide, tachycardie (une autre réaction fréquente de l’aspartame)
- Problèmes d’asthme
- Douleurs de poitrine
- Hypertension (pression sanguine élevée)
- Nausées et vomissements
- Diarrhée
- Douleurs abdominales
- Douleurs en avalant
- Démangeaisons
- Urticaire
- Autres réactions allergiques typiques
- Difficulté de contrôle du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie ou hyperglycémie)
- Problèmes menstruels ou changements dans le cycle menstruel
- Impotence et problèmes sexuels
- Besoin maladif de manger sans cesse
- Embonpoint
- Perte de cheveux (calvitie) ou cheveux de plus en plus clairsemés
- Sensation brûlante en urinant et diverses autres problèmes urinaires
- Soif ou faim excessives
- Ballonnements, oedèmes (rétention des liquides)
- Susceptibilité aux infections
- Douleurs aux articulations
- Cancer du cerveau
- Mort
L’aspartame provoque des symptômes semblables aux maladies suivantes, ou bien les aggrave
- Fibromyalgie
- Arthrite
- Sclérose en plaques
- Maladie de Parkinson
- Lupus
- Sensibilité multiple aux produits chimiques
- Diabètes et complications diabétiques
- Épilepsie
- Maladie d’Alzheimer
- Malformations congénitales
- Syndrome de fatigue chronique
- Lymphome (tumeur maligne du tissu lympoide)
- Maladie de Lyme (normalement causée par un minuscule parasite)
- Troubles liés au manque d’attention
- Troubles de panique
- Dépression et autres troubles psychologiques
On trouvera aussi sur ce site quelques autres documents en français sur l’aspartame:
- Journée mondiale de sensibilisation aux méfaits de l’aspartame
- Transcription d’une conférence de Betty Martini sur l’aspartame
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Mises à jour et autres
- ÉTUDE DE NORVÈGE, MONTRE L’ASPARTAME DÉTRUIT LE CERVEAU, SURTOUT DANS LE DOMAINE DE L’APPRENTISSAGE – Dr. Betty Martini, D.Hum. [2001]
- ‘Documentation scientifique et générale détaillée concernant la toxicité du nutrasweet, de l’égal, du coca light, du pepsi diététique et d’autres produits contenant de l’aspartame. La page Web comprend des rapports réels sur la toxicité aiguë et chronique due à une ingestion à long terme.‘
- Aspartame lié à la leucémie et au lymphome dans une étude révolutionnaire [2012, archive]
- L’aspartame se transforme en formaldéhyde et en méthanol dans le corps? [2016]
- Donald Rumsfeld et l’étrange histoire de l’aspartame [2016]
Années 70 : Un partenaire de Monsanto, G.D.Searle, publie une centaine de fausses études internes qui déclarent que l’aspartame est inoffensif, alors que la propre recherche de la FDA [Food and Drug Administration, Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] révèle clairement que l’aspartame entraîne des tumeurs et de grands trous dans le cerveau des rats, avant de les tuer.
- La stevia, une alternative naturelle à l’aspartame? [Oct. 2009, le Monde]
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