Si l’origine des satellites tient de la science-fiction et qu’il n’y a pas eu d’exploration spatiale; comment le GPS, les communications mondiales et les supposées autres plates-formes spatiales fonctionnent-ils vraiment?
Ancienne technologie améliorée
GPS
La technologie GPS a été « développée en 1973, et elle est contrôlée par le ministère de la Défense. » […]
On nous dit, que la conception du GPS est ‘basée sur des systèmes similaires au sol, de radionavigation, tels que le LORAN et le Decca Navigator.‘
Des technologies ‘qui ont été développés et utilisés, pendant la Seconde Guerre mondiale, au début des années 40.’
Et « le gouvernement des États-Unis a créé le système, le maintient et le rend librement accessible à toute personne possédant un récepteur GPS. »
Long RAnge Navigation
LORAN (Long RAnge Navigation) est un « système de navigation terrestre.
Il permet aux navires et aux aéronefs de déterminer leur position et leur vitesse à partir de signaux radio à basse fréquence transmis par des balises radio fixes et terrestres, à l’aide d’un récepteur. »
Decca
Le système Decca Navigator était un « système de radionavigation hyperbolique qui permettait aux navires et aux aéronefs de déterminer leur position en recevant des signaux radio provenant de balises de navigation fixes. Le système utilise des basses fréquences de 70 à 129 KHz.
Il a été déployé pour la première fois par la Royal Navy pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque les forces alliées avaient besoin d’un système qui pourrait être utilisé pour effectuer des débarquements précis. »
Decca « a effectué des tests dans des voitures, conduisant dans la zone de contournement de Kingston pour vérifier la précision du récepteur dans l’installation de la voiture.
Il s’est avéré possible de naviguer dans une voie de circulation individuelle. »
Il ne s’agit pas de nouvelles technologies
« À la fin des années 50, une chaîne expérimentale Decca a été mise en place, aux États-Unis (dans la région de New York), pour la navigation sur les hélicoptères Vertol 107 de New York Airways.
Ces hélicoptères opéraient depuis les principaux aéroports locaux: l’aéroport John F. Kennedy sur Long Island, l’aéroport de Newark dans le New Jersey, l’aéroport de LaGuardia dans le Borough of Queens, proche de Manhattan, et un site au sommet du bâtiment PanAm sur Park Avenue.
L’utilisation de Decca était essentielle car ses signaux pouvaient être reçus jusqu’au niveau même de la mer.
Ils n’étaient pas soumis aux limitations de visibilité directe du VOR / DME.
Et, ils ne subissaient pas les erreurs de portée qui créent des problèmes avec le VOR / DME près des émetteurs. »
Technologies largement effectives
‘Le système a été largement déployé (terme militaire) en mer du Nord’.
‘Et, il a été utilisé par des hélicoptères, opérant sur des plates-formes pétrolières.‘ […]
Une autre application a été développée par la division Bendix Pacific de Bendix Corporation, avec des bureaux à North Hollywood (en Californie), mais non déployée: PFNS – Personal Field Navigation System.
Elle permettait à chaque soldat de déterminer leur position géographique.’
Et ceci, ‘bien avant que cette capacité ne soit rendue possible par le GPS par « satellite » (Global Positioning System). »
[Cf: Système Decca Navigator]
Prenez note que l’explication des interruptions de service pour la technologie au sol est la même que pour les perturbations du GPS et du réseau parabolique / satellite tels que les « orages magnétiques« .
Vieilles communications terrestres toujours en activité
Les communications terrestres existent depuis longtemps, et elles sont encore utilisées aujourd’hui.
Loran (navigation à longue portée) a été développé pendant la Seconde Guerre mondiale, avec une portée allant jusqu’à 1 500 milles.
De telles tours étaient positionnées pour fournir une couverture, relativement transparente pour la navigation.
Les tours positionnées sur les îles fournissaient les points de contact nécessaires à la propagation en mer.
Le signal rebondit sur l’ionosphère et crée une « onde céleste » qui à son tour crée la « distance de saut » vers la tour suivante.
N’oubliez pas que cette technologie a environ 70 ans.
Par conséquent, des améliorations progressives de la puissance, de la portée et de l’efficacité ont été apportées depuis.
Communications terrestres et transmission à micro-ondes
Voici une vidéo de 1946 sur les communications terrestres et les capacités de transmission à micro-ondes.
(Television and the Telephone 1946 Bell system)
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Google Maps, par exemple, utilise la triangulation des tours cellulaires, comme elle l’explique, en 2007, avec « bonté » ici.
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Et, elle a démontré que le GPS n’était pas nécessaire pour déterminer son emplacement.
Beaucoup d’entre vous peuvent utiliser leurs téléphones Android et le tester.
Assurez-vous que le GPS est désactivé.
Puis, ouvrez Google Maps.
Notez qu’il produira toujours un résultat assez précis en ce qui concerne votre emplacement.
Essentiellement, le GPS nécessite le WiFi, des tours cellulaires et une dorsale Internet pour localiser votre emplacement.
Déterminer sa position à l’aide de la triangulation n’a rien de nouveau.
Cela remonte au 6ème siècle.
« Au 6ème siècle avant JC, le philosophe grec Thales est consigné comme utilisant des triangles similaires pour estimer la hauteur des pyramides, en mesurant la longueur de leurs ombres et celle des siennes, au même moment, et en comparant les rapports à sa hauteur (théorème d’interception).
Et, il est connu pour avoir estimé les distances aux navires en mer vues depuis une falaise, en mesurant la distance horizontale parcourue par la ligne de visée pour une chute connue, et en augmentant jusqu’à la hauteur de la falaise entière.
De telles techniques étaient familières aux anciens Égyptiens. »
[Cf: Triangulation]
Google maps et avions au-dessus de la Terre
Les images, produites par Google maps, peuvent être produite par des avions volant au-dessus de la terre.
Mark Aubin, un ingénieur en logiciel qui travaille sur Google Earth aurait déclaré:
‘La plupart des gens sont surpris d’apprendre, que nous avons plus d’une source pour nos images.’
‘Nous les collectons par avion et par satellite, mais aussi à peu près de toutes les façons possibles d’imaginer une caméra au-dessus de la surface de la Terre: des montgolfières, des modèles réduits d’avions; même des cerfs-volants.
L’observation aérienne traditionnelle consiste à monter une caméra gyroscopique spéciale stabilisée dans le ventre d’un avion et à la faire voler à une altitude comprise entre 15 000 pieds et 30 000 pieds, selon la résolution des images qui vous intéressent.
En parcours une zone prédéfinie, il forme une série de lignes parallèles avec environ 40 pour cent de chevauchement entre les lignes et 60 pour cent de chevauchement dans la direction du vol.
Ce chevauchement d’images nous fournit suffisamment de détails pour éliminer les distorsions causées par les formes variables de la surface de la Terre.’
Le GPS n’est rien de plus qu’un système au sol qui utilise une technologie améliorée pour déterminer votre emplacement.
Câbles sous-marins à grande vitesse
« Le tout premier câble sous-marin posé en 1851 […] »
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Câbles sous-marins aujourd’hui
Nous pouvons lire sur la carte des câbles sous-marins de 2019 que […] « 420 systèmes de câbles et 1106 stations d’atterrissage sont actuellement en service, en construction ou devraient être entièrement financées d’ici la fin de 2021. […]
Jusqu’à 107 nouveaux câbles sous-marins, totalisant plus de 400 000 kilomètres, seront déployés entre 2016 et 2020, pour une valeur de plus de 13,8 milliards de dollars.
C’est l’une des raisons pour lesquelles le concept de cette année concerne l’essor économique. […] »
Comme vous pouvez le voir sur ces cartes ci-dessus, les câbles relient tous les continents avec redondance.
Il existe, un excellent document de CBS, qui explique comment les câbles sous-marin sont posés.
Et, il est précisé, ce qui suit.
TOUTES LES COMMUNICATIONS INTERNET ET CELLULAIRES passent par des CÂBLES sous l’EAU.
En 2018, on a appris, que ‘Google est en train de tirer un câble entre la France et les États-Unis, qui sera totalement privé.’
Mais posons nous cette question, qui a été posée sur vedic-cosmos-asitis, histoire de se creuser un peu plus les neurones.
Pourquoi n’utilisons-nous pas plutôt la communication par satellite?
1. Rendement
Les satellites ne sont pas utilisés, car ils ne peuvent pas transporter des téraoctets de données pour moins d’un milliard de dollars par ligne de communication.
2. Quantité de données plus élevée
La bande passante disponible à l’aide d’un seul câble à fibre optique et d’un faisceau laser est beaucoup plus grande que celle que vous pouvez obtenir à partir d’un seul canal radio satellite.
Cela est dû à la fréquence plus élevée et à la longueur d’onde plus courte de la lumière par rapport aux micro-ondes.
Plus la fréquence est élevée, plus la bande passante est grande.
3. Canaux plus élevés
Un câble sous-marin est un faisceau de câbles à fibres optiques.
Considérez chaque câble à fibre comme un canal.
Vous pouvez avoir plus de canaux, chacun avec une capacité plus élevée, que vous ne pouvez intégrer de canaux radio dans un satellite.
4. Les risques
Le coût des liaisons montantes et des liaisons descendantes est plus élevé.
Le fait de placer le satellite dans l’espace provoque une énorme demande et beaucoup plus de risques.
5. Coût des communications et des réparations
Le retard pour les communications par satellite serait d’environ 255 ms en liaison montante et en liaison descendante.
Pour un trafic continu, ce n’est pas un mauvais prix à payer.
Mais pour le trafic en rafale (comme la voix), vous payez le retard à chaque pause.
La règle d’or est de 10 ms par 1000 miles; donc la règle d’or pour l’Europe, disons que le TAT-8 serait d’environ 75 ms contre 510 ms pour le satellite.
Enfin, vous pouvez réparer un câble cassé.
Une fois que vous lancez le satellite, vous n’avez pas la possibilité de le réparer s’il tombe en panne.
Plus de clous dans le cercueil ‘des satellites existent‘
Outre les technologies terrestres, la véritable couleuvre qui crée l’illusion de l’utilité des satellites sont les Light-Than-Air-Vehicles (LAV), les High Altitude Airships (HAA) et les High Altitude Platforms (HAP).
Ce concept, qui est une mise à jour d’une technologie éprouvée, emmène les véhicules plus légers que l’air dans un domaine qui offre aux utilisateurs des capacités comparables à celles des « satellites » (ceux définis comme étant dans l’espace) à une fraction du coût (1 à 2 ordres de grandeur en moins).
HAA
Le HAA intégrera également des suites de charges utiles multi-missions reconfigurables.
HAA est beaucoup moins coûteux à déployer et à exploiter que les autres plates-formes aéroportées et prend en charge les missions critiques pour la défense, la sécurité intérieure et d’autres applications civiles.
Sa persistance opérationnelle élimine le besoin de soutien logistique en théâtre.
En position, un dirigeable inspecterait une zone de 600 milles de diamètre et des millions de milles cubes d’espace aérien.
LTA
Lockheed Martin Corporation a construit plus de 8000 plates-formes Plus Légères que l’Air [lighter-than-air platforms – LTA], ce qui est un nombre assez important (juste pour cité que cet aspect là).
Ils ont également une brochure astucieuse sur les Plus Léger que l’Air. [LTA].
- La société Lighter-Than-Air
Les LTA atteindraient des altitudes de 70 000 pieds, mais 100 000 pieds et plus ont été atteints.
Ils peuvent rester en altitude pendant des mois, voire des années, sans pilote.
Et, ils seraient contrôlés par des opérateurs terrestres semblables à des drones.
Faux déploiements de satellites de la NASA
Les LTA ont également la capacité de maintenir une position géosynchrone que les satellites prétendent faire également.
Avec l’énorme quantité d’argent que la NASA détourne, vous pouvez parier qu’elle a investi des ressources importantes dans le développement de ces plateformes.
Plus les plates-formes sont rentables, plus les marges bénéficiaires sont importantes dans les faux déploiements de satellites de la NASA.
Il est également important de se rappeler que sans l’illusion de satellites et de sondes, la NASA ne pourrait pas prétendre s’aventurer dans le vide de l’espace pour explorer et révéler les merveilles du cosmos.
Voici quelques exemples de LTA
Plate-formes de communication terrestre
Sous plusieurs formes
HAA, LTA et HAP de LTA peuvent prendre toutes les formes.
Et, ils sont certainement perçus comme des satellites par le public.
Outre les Airships de haute altitude, il existe des stations HALE (High Altitude Long Endurance) ou SPR (Stratospheric Platform Radios).
Comme vous pouvez le voir sur les images ci-dessous, il se passe beaucoup de manigances juste au-dessus de nos têtes.
Mais, le véritable atout de la tromperie est cachée à la vue.
S’il nous arrive de repérer divers dirigeables dans le ciel (même le dirigeable Goodyear), nous ne les connaissons que comme des dirigeables et personne ne s’en soucie.
En réalité, ils peuvent fournir toutes les capacités que ces prétendus satellites fourniraient.
Mais nous ne savions pas que ce sont des chevaux de Troie.
Voici probablement, plus de preuves que le ciel fourmille de ces plates-formes.
En 2011 sur cet article ci-dessus, voici ce que l’on peut lire: « Plates-formes de communication stratosphériques comme alternative au programme spatial ».
Pourquoi?
Les satellites dans l’espace n’étaient pas assez efficaces?
Ou bien, ces satellites de l’espace, appartenant à la science-fiction, n’ont pris forme que dans l’esprit d’Arthur C. Clarke et de ses collaborateurs.
Halo?
HALO High Altitude Long Operation (HALO)
HALO est le nom du réseau basé sur l’avion Proteus piloté (vue ci-dessus).
Les pilotes assureront un service continu en trois quarts de huit heures en utilisant deux avions ou plus.
La capacité de transmission d’une plate-forme unique, initialement de 10 Gbps, peut atteindre 100 Gbps et au-delà, desservant une zone de couverture de 100 km de diamètre par plus de de 100 faisceaux d’antenne séparés.
Les consommateurs auront accès à la vidéo, aux données et à Internet à des débits de 1 à 5 Mbps.
Une liaison radio, à large bande, à 52 Mbps a été démontrée en 1998.
Sky Station
C’est le nom d’un système aérostatique HAP à énergie solaire prévu par Sky Station International.
Initialement, des moteurs ioniques étaient envisagés.
Une plate-forme unique fournira des services de télécommunications mobiles et fixes sur une zone de 150 … 1000 km de diamètre en utilisant des antennes spot-bam.
Les débits de données prévus sont de 2 Mbps en liaison montante et de 10 Mbps en liaison descendante dans les services fixes.
Pour les applications mobiles, 16 kbps pour la voix et 384 de données sont prévus.
Le coût d’une infrastructure à large bande mondiale est estimé à 2,5 milliards de dollars.
StratSat
C’est un système aérostatique HAP à énergie solaire prévu par Advanced Technology Group pour des applications civiles et militaires.
En cas de besoin, la plate-forme peut être envoyée à des distances de milliers de kilomètres, d’une région à l’autre.
Et, elle peut être maintenue opérationnelle jusqu’à cinq ans, dans la stratosphère.
La plate-forme pourrait être maintenue quasi-stationnaire, dans un cube de 1 km.
Le coût des appels à partir d’un téléphone mobile devrait être d’un ordre de grandeur inférieur à celui des appels par satellite.
ARC
C’est le système de communication par relais aéroporté (ARC) est une plate-forme aérostatique prévue par Platforms Wireless International.
Il est conçu pour fonctionner à des altitudes sous-stratosphériques de 3 à 10 km.
À l’origine, il a été conçu pour des utilisations de radar de défense.
Sa version de communication est de fournir des services haut débit fixes et mobiles dans des zones de 55 à 225 km de diamètre, desservant jusqu’à 1,5 million d’abonnés.
SkyTower
C’est une plate-forme aérodyne radiocommandée à énergie solaire, prévue par SkyTower Telecommunications, basée sur l’avion Helios.
Les systèmes de réseaux interactifs sont conçus pour un débit total de 10 … 20 Gbps par plate-forme (125 Mbps par utilisateur), avec une vitesse de transmission moyenne de 1,5 Mbps.
La société affirme que le système, appliqué pour résoudre le problème du dernier kilomètre, aura plus de 1000 fois la capacité d’accès local à large bande d’un satellite (mesurée en bit par seconde par kilomètre carré), une fraction du coût de câble et DSL à déployer (se mesure en dollars par abonné); et elle peut s’installer en quelques jours.
En juin-juillet 2002, les premières capacités de transmission HDTV et IMT-2000 ont démontrées un succès.
HeliPlat
C’est le nom d’une plate-forme stratosphérique solaire sans pilote développée dans le cadre d’un projet européen.
Ses applications couvrent la localisation, la surveillance de l’environnement et les communications à large bande.
Le projet implique une dizaine de partenaires italiens, espagnols, britanniques, slovènes, hongrois et suisses.
Un certain nombre de HeliPlats interconnectés créeront un HeliNet, offrant un accès sans fil fixe à large bande (BFWA) ou des services de distribution multipoint locaux (LMDS).
Les services peuvent inclure Internet, Intranet, e-mail, téléphonie, données, LAN, vidéoconférence, vidéo à la demande, diffusion TV, etc.
Les débits de données en rafale peuvent atteindre 155 Mbps.
La conception actuelle prévoit jusqu’à environ 120 cellules, chacune desservie par une seule antenne à cornet.
(« Le projet HeliNet avait proposé de développer un drone à haute altitude à longue altitude fonctionnant à l’énergie solaire et à pile à combustible, désigné HeliPlat, pour une utilisation dans des fonctions de surveillance de l’environnement, avec un financement commençant en 1999 pour trois ans.
Ce projet a abouti à la conception pour un drone HALE capable de transporter des charges utiles jusqu’à 150 kg. »)
[Cf: Le premier drone solaire italien fait ses débuts]
HAPS japonais
C’est le projet japonais visant une plate-forme d’aérostat qui offrira des services classiques mobiles, fixes de diffusion et de nouvelles applications multimédias interactives sans fil terrestres.
Comprendront l’accès mobile multimédia (combinés mobiles, terminaux mobiles personnels), l’accès d’urgence, l’accès aux entreprises, l’accès en voiture, les STI, l’accès aux trains, l’accès aérien, l’accès maritime, etc.
Le concept englobe le relais de la télévision numérique, la collecte directe de nouvelles, la radiodiffusion locale et de nombreuses autres applications.
Un réseau de cinq HAPS couvrira la quasi-totalité du territoire japonais avec un signal d’élévation de l’angle d’élévation supérieur à 5 degrés.
Pour un angle d’élévation de 10 degrés, 16 stations seront nécessaires.
Un projet britannique similaire prévoit six HAPS pour couvrir l’ensemble du Royaume-Uni.
ILC Dover
De plus petites sociétés spécialisées comme ILC Dover travaillent avec la NASA et la DARPA sur diverses plates-formes et soutiennent leur développement.
ILC Dover est impliqué dans la conception et le développement de dirigeables à haute altitude, depuis le début des années 1980.
Elle soutient des programmes de développement pour la Marine et la NASA.
Le marché du téléphone cellulaire a suscité un regain d’intérêt pour l’utilisation de dirigeables à haute altitude comme moyen d’assurer une couverture économique dans les pays en développement.
ILC a soutenu Lockheed Martin dans le développement de véhicules HAA, y compris HALE-D (démonstrateur de longue endurance à haute altitude).
Soutenant également le programme haute altitude ISIS (Integrated Sensor is Structure) de DARPA.
Navettes dans l’air, ballons et nano-ballons
Des entreprises comme Near Space Corporation ont également d’autres technologies telles que les systèmes de navette à haute altitude (HASS), les systèmes de petits ballons (SBS) et les systèmes de nano-ballons (NBS).
HASS peut atteindre des altitudes de 100 000 pieds et transporter la navette HASS comme une charge utile.
Project Loon
Si cela ne suffit pas pour mettre en doute l’existence de satellites dans l’espace, consulter Project Loon par Google.
Leur devise est ‘Internet propulsé par des ballons pour tous’.
« Les ballons du projet Loon flottent dans la stratosphère, deux fois plus haut que les avions … Dans la stratosphère, il y a de nombreuses couches de vent, et chaque couche de vent varie en direction et en vitesse.
Les ballons huards vont là où ils sont nécessaires en montant ou en descendant dans une couche de vent qui souffle dans la direction souhaitée.
En nous associant à des entreprises de télécommunications pour partager le spectre cellulaire, nous avons permis aux gens de se connecter au réseau de ballons directement à partir de leurs téléphones et d’autres appareils compatibles LTE.
Ensuite, le signal est transmis à travers le réseau de ballons.
Et, il redescend vers l’Internet mondial sur Terre. »
Trois faits de base que la NASA ne peut pas ou ne veut pas expliquer.
1. Comment les satellites survivent-ils à une chaleur de 4 000 F (2204.4444 °C) et plus dans l’espace?
Il n’y a que sept éléments sur le tableau périodique qui pourraient résister à cette chaleur; et aucun d’entre eux, n’a été utilisé pour les satellites.
Les satellites résideraient prétendument et principalement dans la thermosphère où les températures peuvent monter à 4 000 degrés F et plus.
Ce n’est pas plausible.
2. Comment peut-on même voir des satellites dans l’espace?
Space.com a publié « Comment repérer les satellites », mais à contrario Universe Today dit « Si nous pouvions voir ces satellites depuis la surface de la Terre, ils sembleraient rester immobiles dans le ciel.
Le fait qu’ils restent sur la même zone géographique signifie qu’ils fournissent une parfaite plate-forme pour les télécommunications, la radiodiffusion ou les observations météorologiques «
Qu’est-ce que c’est que cela?
Nous pouvons les voir ou pas? Je n’ai jamais vu ça.
Je comprends maintenant, combien il doit être extrêmement difficile de prendre de vraies photos des « satellites de l’espace » de la Terre, simplement parce que ces satellites n’existent pas !!
Ce n’est pas possible.
3. ceintures de Van Allen
Si les ceintures de Van Allen sont si mortelles (1 000 km à 60 000 km), « Les panneaux solaires, les circuits intégrés et les capteurs peuvent s’endommager par le rayonnement.
Les tempêtes géomagnétiques endommagent parfois les composants électroniques des engins spatiaux.
La miniaturisation et la numérisation des circuits électroniques et logiques ont rendu les satellites plus vulnérables aux rayonnements ».
Les satellites en orbite terrestre (36 000 km) fonctionnent-ils presque au milieu des ceintures de Van Allen?
Impossible.
Un ingénieur de la NASA admet qu’il ne peut pas dépasser les ceintures de Van Allen
[Écouter cette vidéo, l’aveu commence à: 3:00 min]
Descriptif de la vidéo.
« Nous devons RÉSOUDRE ces défis avant d’envoyer des gens à travers cette zone de l’espace! » (3:37 min)
Cette vidéo publiée par la NASA, relative au vaisseau pour la prochaine exploration spatiale d’Orion, montre un scientifique de la NASA, qui admet qu’ils n’ont toujours pas trouvé comment protéger correctement le vaisseau spatial contre le rayonnement émis par les ceintures de Van Allen.
Notes importantes
Les missions Apollo auraient passé les ceintures de rayonnement Van Allen.
La technologie recule-t-elle?
Pourquoi ne peuvent-ils pas, tout simplement utiliser, la technologie qu’ils ont utilisée il y a 50 ans!? »
Sky Lab-otomy
Nous avons probablement tous besoin d’une lobotomie après avoir acheté un morceau de détritus de la propagande tel que Sky Lab (Sky Laboratory, « Laboratoire du ciel »).
En 1973, Sky Lab a été lancé.
Et, il a été opérationnel jusqu’en 1979.
Comme vous pouvez le voir sur l’image, je me sentirais plus à l’aise dans un baril traversant les chutes du Niagara que de voyager dans cet engin.
Encore une fois, où sont les photos réelles? Ceux qui auraient pu être prises par d’autres satellites?
De plus, sa forme cylindrique est la même que l’ISS qui s’intègre parfaitement dans un fuselage à réaction Zero Gravity.
La NASA utilise Zero G depuis 1959 avec Project Mercury .
FAUSSES IMAGES SATELLITES DE LA NASA
Il existe une multitude de plates-formes qui peuvent imiter l’utilité des satellites.
Alors passons les en revue.
1. Technologies terrestres, Loran (navigation longue distance)
2. Le GPS utilise la triangulation Cel-tower et non les satellites
3. Dirigeables à haute altitude (HAA)
4. Plates-formes à haute altitude (HAP)
5. Véhicules plus légers que l’air (LAV)
6. Haute endurance à haute altitude (HALE)
7. Fonctionnant à haute altitude de longue durée (HALO)
8. StratSat
9. Communication par relais aéroporté (ARC)
10. HeliPlat qui se connecte au système HeliNet
11. Système de navette à haute altitude (HASS)
12. Systèmes de petits ballons (SBS)
13. Systèmes de nano-ballons (NBS)
14. Système Google Loon
15. Systèmes de plate-forme stratosphérique (SPS)
16. Démonstrateur à haute altitude et longue endurance (HALE-D)
17. Câble sous-marin
18. DARPA, une Structure de Détection (Capteur) Intégrée (Integrated Sensor is Structure) ou ISIS
Donc il existe au moins 18 plates-formes qui peuvent être utilisées indépendamment, en tandem ou en groupe pour fournir tous les services fournis par les satellites.
L’aspect le plus flagrant de la contrefaçon par satellite est le coût.
Les 18 plates-formes que j’ai mentionné sont nettement plus économiques que les satellites et intrinsèquement plus fiables.
Cela n’a aucun sens de risquer continuellement de projeter des satellites dans l’espace, puisqu’il existe déjà des systèmes terrestres plus rentables, fiables et faciles à entretenir.
Et, c’est ce qu’ils font.
Les preuves des satellites de l’espace?
L’existence douteuse de satellites est encore plus définitive car la NASA ne peut pas fournir une seule photo ou séquence vidéo de satellites réels.
Si les satellites existent, la NASA semble incapable de confirmer leur existence.
Le rasoir d’Occam rend la réponse simple, les satellites n’existent pas du tout !!
Toutes les ref dans l’article
Plates-formes Helios https://youtu.be/1NCOPLEJOl0
‘Environ 30 minutes après le décollage, Helios a heurté un vent puissant et s’est écrasé dans le Pacifique.’
https://www.popsci.com/military-aviation-amp-space/article/2009-03/gallery-top-10-nasa-probe-failures/
Tout est dit et bien démontrer.
Après toutes ces preuves, il n’est définitivement plus possible de croire à l’existence des satellites.
Si un mensonge aussi gros que celui des satellites est possible, Dieu seul sait quelles autres affabulations nous sont servies en guise de vérité.
L’auteur de cette article a réalisé un travail de recherche et de mise en forme des données récupéré, que pas un seul journaliste (scientifique) n’a été capable de faire.
C’est à se demander si ce que l’on nomme science ne serait pas plutôt du scientisme.
Quoiqu’il en soit, merci à l’auteur pour cette série de reportages captivant.
La réalité dépasse la fiction.
Tk y Tibrus.