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Most Modern Day Diseases Are Man-Made‘ [2010 – archive]

Les maladies les plus mortelles, les pathologies cardiovasculaires, le cancer, le diabète et de nombreuses autres maladies sont en grande partie d’origine humaine et iatrogène.

Mais, par ignorance nous rejetons leur progression sur des facteurs supposés inévitables.

Cancer

Le cancer est la principale cause de décès dans le monde.

Cette mortalité dû au cancer devrait augmenter à environ 12 millions de décès pour 2030.

L’Organisation mondiale de la santé [OMS] affirme que seuls 30% des décès du cancer peuvent être évités.

Il semble que cette statistique soit erronée et, qu’elle soit de la désinformation, puisqu’il y a plus de 200 ans le cancer était rare.

Ce qui rend la majorité des décès par cancer évitables à 100%.

Et par conséquent, ils n’ont guère de lien avec la génétique ou des facteurs hors de notre contrôle.

Cancer ‘dans les temps anciens était extrêmement rare’.

Une étude récente sur des vestiges antiques révèle que le cancer est une maladie d’origine humaine et entretenue par les excès de la vie moderne.

Les tumeurs étaient rares, jusqu’à notre récente époque avec la pollution environnementale d’origine humaine et l’introduction de produits chimiques dans l’approvisionnement alimentaire.

Michael Zimmerman, professeur invité à l’Université de Manchester, a déclaré: `

‘En tout état de cause dans une société ancienne dépourvue d’intervention chirurgicale, les signes de cancer auraient dû demeurer.’

‘La quasi-absence de tumeurs malignes chez les momies doit être interprétée.

Ceci indique leurs raretés dans l’Antiquité et les facteurs cancérigènes sont limités aux sociétés touchées par l’industrialisation moderne.’

C’est seulement qu’au cours de ces 200 dernières années, que les premiers rapports de la littérature scientifique relatent des tumeurs distinctives, y compris le cancer du scrotum chez les ramoneurs (en 1775) et le cancer du nez chez les consommateurs de tabac à priser [aspirer par le nez] (en 1761).

Cette année, lors d’une conférence, le professeur Rosalie David qui a présenté des résultats au professeur Mike Richards, le tsar du cancer du Royaume-Uni et à d’autres oncologues, a déclaré:

‘Dans les sociétés industrialisées, le cancer vient en deuxième position, après les maladies cardiovasculaires, en tant que cause de décès.

Mais, dans les temps anciens, c’était extrêmement rare.

Dans l’environnement naturel, il n’y a rien qui puisse provoquer le cancer.’

Maladies cardiovasculaires

Les maladies cardiovasculaires (MCV) sont la deuxième cause de mortalité dans le monde.

Les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux représentent la plus grande partie des décès par les MCV. Et, en majorité ils sont évitables.

L’un des plus grands mythes sur la santé propagés dans la culture occidentale, et certainement aux États-Unis, est l’utilisation abusive du terme inventé le «mauvais cholestérol» par les médias et la communauté médicale.

De plus, un public scientifiquement naïf a été trompé dans cette corrélation frauduleuse entre un taux de cholestérol élevé et une maladie cardiovasculaire [MCV].

Il n’a pas été démontré que le cholestérol est la cause réelle des maladies cardiovasculaires.

Au contraire, le cholestérol est vital pour notre survie.

Et, essayer de le réduire artificiellement peut avoir des effets néfastes, en particulier à mesure que nous vieillissons.

En outre, il existe un certain nombre de déterminants sous-jacents aux maladies cardiovasculaires ou, si vous le souhaitez, des «causes des causes».

Celles-ci reflètent les principales forces motrices du changement social, économique et culturel, y compris la mondialisation, ainsi que, les politiques de réduction progressive de la population, qui la plupart du temps maintiennent les personnes malades.

La recherche épidémiologique estime que 280 000 personnes meurent chaque année de causes iatrogènes aux États-Unis.

L’un des principaux déterminants de la mort par les MCV est l’avancement du complexe industriel pharmaceutique et des médicaments, pris sur une longue échéance.

Médicaments tels que Vioxx, Lipitor, Mevacor, Crestor causent et ils ont causé des millions de décès dans le monde.

Et, le nombre de diagnostiques et mesures thérapeutiques effectués, en cardiologie pour promouvoir et commercialiser ces types de médicaments, continue de croître.

Actuellement, les interventions et procédures cardiologiques sont plus mortelles pour les patients, que le manque d’exercice physique ou les mauvaises habitudes alimentaires.

Mais, cela est rarement, voire jamais, discuté dans le débat général.

Diabète

Pendant des décennies, les chercheurs ont recherché les gènes responsables du diabète, mais il existe de plus en plus de preuves qui confirment que, la cause du diabète provient des infections virales.

En particulier, le diabète de type I qui est supposé être génétique.

Or, de nombreuses preuves démontrent que ce diabète est causé par des virus, tels que Coxsackie B4 et d’autres liés aux vaccins.

L’augmentation mondiale du diabète type 1 ne peut être expliqué par la génétique.

En outre, la transformation moderne des aliments a été mise en cause dans l’incidence croissante du diabète type II.

La transformation des aliments peut produire des produits finis de glycation, de l’acide ascorbique oxydé et de l’acide lipoïque, qui peuvent tous provoquer le diabète.

En particulier, les préparations pour nourrissons ont des niveaux élevés de produits de glycation et d’acide ascorbique ajouté.

[Que dit wikiped sur le glycation?]

Vaccins – Une cause majeure de maladie

Le diabète sucré insulino-dépendant de type I est une maladie qui est maintenant liée aux vaccins, tout comme la maladie de Parkinson, le syndrome de Tourette, la sclérose en plaques et plusieurs autres troubles neuropsychiatriques.

Tous les vaccins provoquent des altérations immédiates et différées, aiguës et chroniques, des hausses et des baisses de la circulation sanguine, dans le cerveau et le corps.

Cela nous rend tous chroniquement malades, souffrants et abandonnés avec des lésions cérébrales parmi un ensemble d’autres symptômes; dont certains sont cliniquement silencieux jusqu’à la mort.

Les vaccins provoquent des «accidents vasculaires cérébraux» ischémiques.

Étant donné que les dommages sont microscopiques nous ne pouvons pas les voir pendant qu’ils se produisent.

Cependant maintenant, nous pouvons voir les conséquences neurologiques de ces dommages quelques heures et quelques jours après la vaccination, et de toutes les vaccinations.

[Lire Les vaccins sont une grande expérience causant des centaines de maladies dans le monde modernearchive]

Il existe une corrélation, directe et statistique, entre les maladies qui affectent une population donnée (dans les pays développés) et la fréquence des vaccins administrés.

Cela étant dit, la grande probabilité est que des centaines de maladies du monde moderne soient, tout simplement, une conséquence des effets nocifs des vaccins

Pollution d’origine humaine et produits chimiques liés à 200 maladies

Une étude américaine par des médecins du ‘Boston Medical Center’ et de l’Université de Californie, à San Fransisco, travaillant pour le compte de ‘The Collaborative on Health and the Environment’ [CHE], a déclaré:

‘Plus de 80 000 produits chimiques ont été développés, utilisés, distribués et rejetés dans l’environnement ces 50 dernières années.’

La pollution a été liée à environ 200 maladies humaines, de la paralysie cérébrale à l’atrophie testiculaire, et à plus de 37 types de cancer, a rapporté l’étude du CHE, intitulée ‘Chemical Contaminants and Human Disease [Contaminants Chimiques et Maladies Humaines]’.

Alors même que le taux de maladie s’intensifie, un article du New York Times rapporte, que l’année dernière, les américains ont évité la médecine traditionnelle au profit de 27 milliards de dollars dépensés en thérapies alternatives.

Maladies classiques d’origine humaine – Dengue et grippe pandémique

L’Amérique du Sud a été confrontée à l’une des plus grandes épidémies de dengue jamais enregistrées [archive].

Dans plusieurs pays, depuis le début de l’épidémie [2010], des alertes sanitaires ont été déclarées.

La récente épidémie de dengue est décrite par les médias comme une réémergence fortuite de la maladie ancienne de 75 ans, en Floride et ailleurs aux États-Unis.

La dengue est une maladie virale transmise par les piqûres de moustiques infectés.

Elle peut être causée par un des quatre virus distinctifs mais apparentés.

Et, le plus souvent par les moustiques Aedes aegypti originaires des zones tropicales et sub-tropicales.

Depuis plus de cinquante ans, la dengue est au centre des préoccupations de l’armée américaine et des chercheurs en guerre biologique de la CIA.

[archive / source voltairenet.org]

Dès les années 1950, la base armée Fort Detrick, en partenariat avec la CIA, a lancé un programme de recherche de plusieurs millions de dollars.

Dans ce programme, la dengue et d’autres maladies exotiques sont étudiées, dans le but de les utiliser pour des attaques offensives de guerre biologique.

Un professeur de droit international de l’Université de l’Illinois, Francis Boyle, a déclaré que les travaux de Fort Detrick incluraient:

«l’acquisition, la culture, la modification, le stockage, le conditionnement et la dispersion d’agents pathogènes classiques, émergents et génétiquement modifiés».

Ces activités, ainsi que l’étude planifiée des propriétés d’agents pathogènes, quand ils sont armés, ‘sont des caractéristiques indéniables d’un programme d’armement offensif’.

Bioterrorisme, génocide et un meurtre de masse?

[archive]

Début 2009, les journaux tchèques [archive] se sont posés des questions.

Ils se demandaient, si la découverte choquante de vaccins contaminés, avec le virus mortel de la grippe aviaire, distribués dans 18 pays par la société américaine Baxter, s’inscrivaient dans un plan pour provoquer une pandémie.

Les vaccins contre la grippe Baxter contaminés par le H5N1, autrement connu sous le nom de forme humaine de grippe aviaire, est l’une des armes biologiques les plus mortelles au monde, avec un taux de mortalité de 60%.

Ils ont été livrés aux laboratoires en République tchèque, en Allemagne et en Slovénie.

Le virus H1N1 de la grippe porcine avait trois parents de deux continents [archive]; et, il est apparu soudainement, sans avertissement, échappant à toute surveillance et quarantaine habituelles de la grippe.

Les données de séquence suggèrent, qu’il a été créé à partir d’un vaccin défectueux, administré à des porcs d’Amérique du Nord.

Le CDC a isolé et modifié génétiquement (génie biologique) le virus de la grippe H1N1; afin qu’il puisse être utilisé pour fabriquer des centaines de millions de doses d’agent bioterroriste.

Le nouveau virus A-H1N1 (innové, inédit) génétiquement modifié contenait alors une combinaison mortelle de bactéries, de virus et de toxines.

Le CDC a aussi mené des expériences.

Dans ces expériences, ils ont infecté des furets [à la fois] avec le virus porcin H1N1 et celui de la grippe aviaire H5N1, pour voir s’ils «se réassortissaient».

Et, s’il créeraient un nouveau virus hybride de la grippe.

[Lire CDC Joue avec le feu: mélanger la grippe porcine H1N1 et la grippe aviaire H5N1 pour créer une super grippearchive]

Mort naturelle inattendue d’origine iatrogène

Alors, comment les complexes industriels pharmaceutiques et chimiques continuent-ils à empoisonner la population?

Un mot … la preuve.

Il existe un indice élevé de suspicion, qu’une mort apparemment naturelle, inattendue, puisse être iatrogène; et ceci, en raison des médicaments administrés, avant la mort.

Les véritables effets indésirables induits par les interactions médicamenteuses sont rarement connus, dans la communauté médicale; en particulier, en ce qui concerne les extrêmes d’âge [bas âge et âge avancé] selon la puissance des médicaments.

Il s’agit de «décès biochimiques».

Et, en tant que tels, ils sont difficiles à prouver lors de l’autopsie.

Surtout, si avant le décès, le médecin légiste n’est pas informé de l’identité des médicaments administrés.

Trop de praticiens, dans toutes les régions, continuent à utiliser des médicaments inutiles; et sans être pleinement conscients, des mécanismes par lesquels ils peuvent devenir mortels.

Les causes de décès iatrogènes sont la première cause de décès de la population mondiale.

Lorsqu’un décès survient, le coroner énumère la cause précise du décès (c.-à-d. la crise cardiaque), mais jamais la «cause de la cause» (c.-à-d. les statines).

Pourtant, aujourd’hui, la «cause de la cause» est le facteur le plus important créant la maladie et la mort, dans notre société.

Les tueurs cachés échappant à la détection, pour protéger les profits et accroître les maladies, sont la plus grande menace.

Marco Torres est un spécialiste de la recherche.

Il est aussi un écrivain et un défenseur des consommateurs, pour des modes de vie sains.

Il est diplômé en santé publique et en sciences de l’environnement et un conférencier professionnel sur des sujets tels que: la prévention des maladies, les toxines environnementales et la politique de la santé.



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