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le 06 – 04 – 2021 de S. Awan
La population en général, devrait-elle s’inquiéter que les fabricants du vaccin Oxford-AstraZeneca étaient intiment liés la British Eugenics Society?
Cette information a-t-elle été rendue publique?
Pourquoi n’a-t-elle pas été reprise par les médias mainstream?
Sur Unlimited Hangout, Whitney Webb et Jeremy Lofreddo ont effectué un travail approfondi.
Ils ont démontré les liens entre les promoteurs de vaccins et la British Eugenics Society, ainsi que des organisations eugénistes telles que le Wellcome Trust.
Il semble que le vaccin est lié à la fois via Adrian Hill au Galton Institute et au Wellcome Trust
Deux organisations qui sont liées depuis longtemps au mouvement eugéniste britannique.
Le Galton Institute, ‘nommé en l’honneur du «père de l’eugénisme» Francis Galton’, portait auparavant le nom de British Eugenics Society.
Webb et Lofreddo expliquent que, Eugenics Society était ‘connue pour sa promotion d’une pseudoscience raciste et, dans ses efforts, pour «améliorer la souche raciale» par le biais de la réduction de la population de ceux jugés inférieurs depuis plus d’un siècle.’
N’est-il pas préoccupant que, de telles organisations sont impliquées dans la conception d’un vaccin?
D’autant qu’il est destiné à être injecté à des millions de personnes?
Comme le note l’article, le vaccin Oxford-AstraZeneca semble être le plus promu pour les pays en voie de développement, tout particulièrement, en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
De plus, auparavant, les membres du Galton Institute ont appelé à une réduction de la croissance démographique de ces zones géographiques susmentionnées.
Ce qui n’est guère un précédent réconfortant.
Extraordinairement, le site Web du Wellcome Trust parle même dans un langage qui semble être d’une autre époque.
Une période où l’idée de l’eugénisme était plus ouvertement prônée en Grande-Bretagne (et, d’autre part, sous l’Allemagne nazie).
Il parle même de ‘l’objectif de l’amélioration biologique de la nation et d’alléger les charges censées être imposées à la société par les génétiquement «inaptes».’
Il ne devrait pas échapper à notre attention que, ‘le génétiquement inapte’ ressemble au concept des nazis dans leur quête de nettoyer leur nation de l’impur et de la création d’une race de maîtres génétiquement supérieure.
Dans le cas du Wellcome Trust, la bibliothèque du Trust est le gardien des archives historiques de Eugenics Society.
Lors de la création de ‘Contemporary Medical Archive Center’ du Wellcome Trust, les premières archives organisationnelles, qu’ils ont cherché à acquérir, sont celles de Eugenics Society-Galton Institute.
Le site Web de Wellcome décrit l’objectif initial de la Eugenics Society comme:
‘d’accroître la compréhension du public de l‘hérédité et d’influencer la parentalité en Grande-Bretagne, avec pour objectif l’amélioration biologique de la nation et d’alléger les charges, censées être imposées à la société par les génétiquement «inaptes».’
De plus, il est indiqué que les intérêts des membres de la société:
‘allaient de la biologie de l’hérédité, un sujet s’étant développé rapidement au cours de la première moitié du 20e siècle, à la fourniture de méthodes de contrôle des naissances, d’insémination artificielle, de statistiques, d’éducation sexuelle et de prestations familiales.’
Dans sa discussion sur les archives de Eugenics Society à Wellcome, la principale archiviste, Lesley Hall, a qualifié Francis Galton, d’eugéniste raciste et ‘un éminent polymathe de la fin du XIXe siècle’. [..]
[polymathie est la connaissance approfondie d’un grand nombre de sujets différents, en particulier dans le domaine des arts et des sciences.
Le substantif associé est polymathe, parfois nommé, personne d’esprit universel’ ou ‘génie universel’.]
Alors que Galton Institute a tenté de se démarquer de son passé en tant que promoteur de l’eugénisme racial avec des efforts de relations publiques superficielles, rien n’a été fait pour empêcher des membres de la famille du raciste infâme [Francis Galton] d’accéder à des postes de direction à l’institut.
À cette même époque, il était politiquement correct, ou culturellement insensible à ce tel langage [eugéniste] ouvertement utilisé en Grande-Bretagne.
Au cours de ces années, des documentaires sur la BBC ont exploré une partie de cette pensée eugéniste en Grande-Bretagne, spécialement sur le traitement envers des personnes handicapées ou des personnes nées avec tout type de défauts perceptibles.
Ainsi, les nazis n’étaient pas les seuls à penser en ces termes. Ils n’étaient que, ceux qui ont poussé ces philosophies à leur conclusion la plus extrême (et inhumaine).
Mais, entendre un tel langage adopté de nos jours est troublant.
D’autant plus, si nous parlons d’organisations affilées au développement de vaccin Covid.
Un vaccin qui est potentiellement destiné à être injecté dans le corps de millions de personnes.
D’après la capacité de ce vaccin, ces groupes et personnes ont le pouvoir potentiel de modifier la génétique d’un grand nombre de personnes, et dans différentes régions du monde.
Ces données devraient justifier que leurs philosophies et leurs perspectives soient examinées de près.
Or, personne au niveau politique, ou des gros médias ne semble intéressé.
Même, lors des réactions contre AstraZeneca, il apparaît qu’aucune attention n’a été portée sur ces associations eugénistes.
Examinons quelques personnes les plus éminentes qui ont été liées à la British Eugenics Society.
Parmi eux se trouve Margaret Sanger, la ‘pionnière du mouvement américain pour le contrôle des naissances’ et la figure principale du ‘Negro Project’.
Le livre Harriet Washington, ‘Medical Apartheid‘, soutient que le programme ‘Negro Project’ vise à ‘réduire la population noire, en promouvant les principes de l’eugénisme.’
L’image de propagande montrée ici provient de la propre bibliothèque de Galton Institute.
Et, Webb fait souligner que, l’un des premiers membres de Galton Institute était John Harvey Kellogg, le fondateur de Race Betterment Foundation.
[Race Betterment Foundation – Une organisation d’eugénisme et d’hygiène raciale; dont son application la plus étendue était sous l’Allemagne nazie]
Un autre était Charles Davenport, un collaborateur scientifique avec des chercheurs allemands nazis en eugénisme, dont on peut dire qu’il a eu une certaine implication, ou influence, sur les politiques raciales inhumaines des nazistes.
Au début des années 1930, Davenport était vice-président de Galton Institute.
David J. Galton, professeur émérite de la génétique moléculaire à l’Institut Galton, a écrit ‘Eugenics : The Future of Human Life in the 21st Century‘.
‘Eugénisme: L’avenir de la vie humaine au 21e siècle’?
Il s’est enthousiasmé que Human Genome Mapping Project [Projet de cartographie du génome humain] a considérablement augmenté le ‘champ d’application de l’eugénisme’, via le développement de technologies puissantes pour la ‘manipulation de l’ADN‘.
La ‘définition plus large de l’eugénisme’, adoptée par Galton, impliquerait entre autres:
‘la régulation du nombre de population, ainsi que l’amélioration de la qualité du génome’ par des méthodes telles que, la thérapie génique ou la manipulation génique.
Webb et Lofreddo indiquent que, Galton est ambivalent, quant à savoir si de telles méthodes ‘devraient être rendues obligatoires par l’État ou laissées entièrement au choix personnel de l’individu.’
Il est curieux que la même conversation se répète à propos des vaccins COVID, sur le fait de savoir si l’État devrait à un moment donné rendre la vaccination obligatoire, ou laisser les individus faire leur propre choix.
Maintenant, bien sûr, on pourrait faire remarquer que toutes ces philosophies et déclarations peu recommandables appartiennent au passé. Et, que depuis, les attitudes dans ces organisations ont évolué.
Du passé?
En renommant ces organisations, ou en se distançant en apparence du langage ancien (de la pensée ancienne), cela semble être tout au plus une simple stratégie de relations publiques.
Sur le site Web du Wellcome Trust, le discours sur les ‘génétiquement inaptes‘ semble impliquer que la même philosophie, ou pensée sous-jacente (ou au minimum, le même vocabulaire), est toujours très présente.
De plus, comme avec le casier judiciaire de Pfizer, certaines de ces institutions liées à la conception d’AstraZeneca ont un bilan louche.
En 2019, Wellcome Trust est signalé, par un lanceur d’alerte et par l’Université du Cap, d’exploiter « illégalement des centaines d’africains, en ‘commercialisant une puce génétique, sans accords juridiques appropriés et sans le consentement de centaines d’Africains.
Dont, leur ADN a été utilisée pour développer une puce.’ [..] »
Par la suite, les citoyens et des institutions d’autres pays africains ont commencé à exiger que, Wellcome Trust restitue l’ADN illégalement récolté.
Il ne faut pas non plus s’étonner que la même organisation collabore fréquemment dans ses recherches sur les vaccins et le contrôle des naissances avec la Fondation Gates .
Ce qui nous amène à la crise COVID, dont la Fondation Gates a eu une présence significative, à tous les niveaux de ‘ID2020’ à ‘Event 201’, et bien au-delà.
[L’auteur a couvert ID2020 et Event 201 dans le PDF d’avril dernier ici].
En outre, l’article de Webb précise que, Andrew Pollard, le directeur de ‘Oxford Vaccine Group‘, est ‘enchevêtré avec la Fondation Gates’.
‘Son employeur, l’Université d’Oxford, a reçu 11 millions de dollars de la fondation [Gates] pour la recherche sur le développement de vaccins au cours des trois dernières années et 208 millions de dollars de subventions au cours de la dernière décennie.’
‘En 2016, la Fondation Gates a donné 36 millions de dollars à une équipe de chercheurs dirigée par Pollard pour la conception d’un vaccin.‘
‘De plus, le laboratoire privé de Pollard est financé par la Fondation Gates.’
‘Compte tenu de ces indications, il n’est pas surprenant que la Global Alliance for Vaccine Initiative (GAVI), un partenariat public-privé, fondé et actuellement financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, envisage de distribuer le vaccin COVID-19 de Oxford-AstraZeneca à la population à revenus modestes, dans des pays majoritairement africains et asiatiques; et une fois son approbation faite […]’
[L’auteur a aussi écrit sur Gates et GAVI dans le PDF de l’année dernière: en ce qui concerne ‘ID2020’; relatif au plan, antérieur à la pandémie COVID-19, d’utiliser la vaccination et de l’utiliser comme prétexte pour ‘l’identité numérique’.]
D’après les données, elles conduisent directement à la micropuce (ou tatouage à ‘point quantique’), via la vaccination.
Et, toutes ces informations sont ouvertement déclarées et exposées dans le baratin officiel.
La pandémie de COVID de 2020 fournit le prétexte parfait pour ‘ID2020’.
Au regard du discours officiel, le plan est d’enregistrer chaque être humain (dès la naissance), dans un système numérique d’identité et de contrôle. Et, la vaccination est uniquement un prétexte.
La technologie de tatouage ‘point quantique’ de Gates (essentiellement, décrite par un code-barres pour les humains) ne semble avoir aucun but bienveillant.
Elle indique simplement qu’un homme qui, autrefois obsédé par les logiciels informatiques est depuis passé au logiciel humain ou génétique.
Rien de tout cela n’est censé être alarmiste. C’est seulement une sorte d’observation de certains faits et de connexions dont plus de gens devraient être conscients.
Dans le cas du vaccin AstraZeneca:
N’est-il pas préoccupant que la conception d’un vaccin liée à des organisations eugénistes obtienne le feu vert et tant de pouvoir?
Au point, qu’il est érigé comme la réponse à la pandémie.
D’autant que, la majorité des discussions sur les divers vaccins reconnaissent le traitement sous-jacent de la manipulation de l’ADN ou de l’ARN.
Les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna sont les premiers vaccins à ARN approuvés.
Et, pour l’essentiel, beaucoup de notre population se sont portés volontaires pour être des cobayes dans une expérience de masse.
En avril dernier, je spéculais que l’ensemble de la pandémie et des mesures restrictives étaient une vaste expérience psychologique et sociale en soi.
Mais, il faut aussi se poser la question suivante.
Est-ce que ce programme de vaccination de masse est une expérience génétique ou eugéniste?
L’ARNm, ou ARN messager, est la molécule qui met essentiellement les instructions de l’ADN en action.
Le fait que, ces vaccins manipulent l’ARNm n’est pas contestable, puisque c’est ouvertement reconnu, voire vanté.
Peut-être que c’est une bonne chose en soi; car, son utilisation pourrait avoir des fins et des résultats généralement positifs.
Bon sang, même les défenseurs de l’eugénisme pourraient être sur quelque chose.
En effet, peut-être que, cette ligne de recherche, ou de développement, contribuerait véritablement à renforcer ou améliorer le pool génétique au fil du temps. Et, elle produira une population plus saine et plus en forme.
C’est juste que … vous savez, quand vous consultez le baratin et l’histoire des partisans et des fanatiques de l’eugénisme, cela ne vous met pas vraiment à l’aise.
N’est-ce pas?
Certes, tous les vaccins ne sont pas exactement les mêmes.
Et, les vaccins Pfizer et Moderna [et d’autres] ne sont pas forcement programmés pour produire exactement les mêmes effets que celui d’AstraZeneca.
Mais, comme le Jerusalem Post le souligne:
‘Lorsque le monde commencera à se vacciner avec ces vaccins, complètement nouveaux et révolutionnaires, il n’ y a presque rien sur leurs effets sur le long terme.’
Certes, l’ampleur des vaccinations supposément ‘nécessaires’ pour lutter contre la prétendue crise mondiale COVID signifie que, les organisations à l’origine des vaccins ont désormais, une grande marge de manoeuvre, et à grande échelle, au niveau de la manipulation de l’ADN humain.
Dans un scénario extrême, ils ont le potentiel de mener une terraformation substantielle de la génétique humaine.
En outre, c’est le groupe d’Oxford qui a remporté la ‘course aux vaccins’. Et, il est le premier au monde à déclarer un vaccin COVID efficace.
Vous pourriez attribuer cela, à une grande expertise et à des heures de travail dévouées, dans le but de trouver un moyen de lutter contre la pandémie.
Or, au vu des connexions évoquées en l’espèce (ainsi que, les liens vers Bill Gates; dont les agendas liés à la pandémie sont tous antérieurs à l’épidémie COVID-19), vous devez également vous demander:
S’agit-il d’un cas issus des recherches et des programmes préexistants?
Étant déjà en place, ils sont apparus précisément au bon moment. Et, ils se sont adaptés à la chronologie d’un ordre du jour en évolution rapide.
Ensuite, on peut se demander si la solution a bien précédée la crise et, si cela ne cache pas quelque chose de louche.
Sur Burning Blogger.com,
de S. Awan
Sur l’auteur
S. Awan, qui se fait appeler Burning Blogger of Bedlam, est journaliste, historien amateur et critique de cinéma, de musique et de culture.
Fin 2019, son site principal a été supprimé par WordPress sans avertissement.
Il est d’avis que la suppression est liée à ses écrits sur les faux drapeaux.
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