A Hegelian Dialectic: Liberals vs Conservatives, 12/09/2015,
Par David Livingstone
On espérait que, les personnes conscientes de l’utilisation de la dialectique hégélienne pour instaurer un nouvel ordre mondial la reconnaîtraient lors de son emploi contre eux.
Mais, au lieu de cela, le mouvement de vérité est corrompue par une forme de pensée dialectique, visant à garder le mouvement divisé et incapable de comprendre la vraie conspiration.
La ruse a fonctionné car la majorité des gens ont oublié une des leçons les plus importantes de leur jeunesse: on ne combat pas le mal par le mal!
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En résumer, la dialectique hégélienne est affirmée que ceci:
Premièrement, une idée est dérivée Kabbalah, laquelle légitime son luciférianisme en prétendant que le mal fait partie de la création et que le bon sera absent du résultat. En réalité, le mal n’est pas une force cosmique, mais une résistance ou une contradiction de la vérité cosmique.
En fin de compte, la dialectique hégélienne, comme la Kabbalah, part du principe que l’histoire évolue et que la vérité aboutira dans la résolution des contradictions. Tout d’abord, une idée commence par une « thèse ». Elle est ensuite confrontée à une « antithèse » avant de se résoudre en une « synthèse ».
Dans leur cynisme maléfique, les lucifériens exercent leur influence mondialement en entretenant de fausses oppositions. Le but est de contraindre la populace muette à reconnaître leurs contradictions respectives et apparentes. Et, ainsi, ils la pousse à accepter leur fausse solution ou synthèse.
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Il existe plusieurs formes de dialectique à l’œuvre. La plus fondamentale, celle qui a façonné les prémisses mêmes des sociétés démocratiques occidentales et maintenant le choc des civilisations, est l’absurdité qu’il existe un conflit entre la religion et la science, afin de produire une « synthèse » comme la laïcité.
Mais l’utilisation la plus puissante de la dialectique a été la dichotomie entre les politiques de gauche et de droite. Ou plus récemment, par exemple l’opposition entre les « libéraux » et « conservateurs », représentés aux États-Unis par les partis démocrate et républicain.
Quiconque soutient l’une ou l’autre faction est victime d’une tromperie.
La gauche de la politique européenne fut produite par une branche des Illuminati, une entreprise secrète appelée Philadelphe. Ils ont commencé à atteindre leur objectif avec la prétendue ‘Année des Révolutions en 1848’, dans le but de défier le pouvoir en place. Le prétexte était de protéger les droits des travailleurs.
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Karl Marx, un juif sabbatéen, a formulé l’idéologie comme une suite au processus dialectique de l’histoire décrit par Hegel. Bien qu’il a été blâmé pour les régimes communistes totalitaires du XXe siècle, Marx avait repris les principes de charité chérit par l’humanité, depuis des millénaires. Mais, il en a soustrait Dieu.
Dès lors, les conservateurs ont été incités à jeter le bébé avec de l’eau du bain, en utilisant le prétexte que le communisme est « impie ».
La construction du régime communiste de l’ex-Union soviétique a été financée par une cabale de Wall Street, menée par Jacob Schiff. Schiff était un autre Sabbatéen et un représentant des intérêts des Rothschild aux États-Unis.
D’autant que plus tard, cette même cabale a été responsable de l’essor des nazis. Et, tout en alimentant la crainte du communisme, ils ont servi pour le pôle opposé de la dialectique.
Lorsque les divers dirigeants nazis vaincus sont arrivés aux États-Unis, sous l’opération Paperclip, ils devaient perpétuer cette peur enragée du communisme. Et, elle est devenue le fondement de la guerre froide.
En marge de la politique américaine, cette même influence nazie a conduit à continuer d’accuser « les Juifs » de cette prétendue conspiration communiste.
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En réalité, il est évident que les deux camps ont tort. Et, c’est ainsi que fonctionne la ruse: le véritable nom des « Illuminati », ou quelque soit le nom que nous voulons leur donner, c’est la consolidation du pouvoir idéologique et financier. L’objectif est d’atteindre la suprématie idéologique en sapant les systèmes de valeurs de la religion traditionnelle. Et, ils accèdent au pouvoir financier grâce au capitalisme monopolistique et au secteur bancaire.
Pour ce faire, la dialectique se sert du simulacre de la lutte entre les libéraux et les conservateurs comme suit:
Les libéraux ont été recrutés en raison de préoccupations légitimes envers le capitalisme. Mais ils ont pollué leur idéologie avec des idées antireligieuses et un rejet de la morale traditionnelle.
À contrario, les conservateurs ont sollicité les chrétiens en les alertant, à juste titre, sur la déchéance morale des libéraux. Mais en le faisant, ils les ont recrutés pour soutenir les politiques de droite du néolibéralisme corporatiste. Tragiquement, c’est l’anachronisme d’une « conspiration communiste », qui a trompé les conservateurs en dénonçant le « grand gouvernement » et en vantant les vertus de la privatisation, qui fait le jeu des plans de la consolidation financière des Illuminati lucifériens.
A Hegelian Dialectic: Liberals vs Conservatives,
Par David Livingstone
