‘Trump is Puppet of Kissinger,
the True Architects of Russian Collusion’, (sur Ordo Ab Chao)
[29/09/2017]
Trump et Mister Chance
Trump est semblable au personnage de Chauncey Gardiner dans le film ‘Being There‘ [Bienvenue Mister Chance], un niais installé au pouvoir par des marionnettistes dissimulés dans les coulisses.
Comme Chauncey, Trump ‘aime regarder’ et a un appétit notoire pour la télévision.
Il ne lit pas comme Chauncey.
Tony Schwartz, le nègre du livre ‘The Art of the Deal’ de Trump de 1987, a déclaré au New Yorker qu’au cours des 18 mois passés avec Trump, il ‘n’a jamais vu un livre sur sa table de travail, ni ailleurs dans son bureau ou dans son appartement.’ [1]
Schwartz a ajouté: ‘Je doute fort que Trump a déjà lu un livre dans sa vie d’adulte.’
Trump a expliqué qu’il n’a pas besoin de bouquiner car il est capable de prendre des décisions correctes.
Il a indiqué ce qui suit.
‘Avec très peu de connaissances autres que les connaissances que j’avais [déjà], plus que les mots le ‘bon sens’, car j’ai beaucoup de bon sens et J’ai beaucoup de sens commercial.’ [2]
Ce film de l’histoire contemporaine se termine par l’une des références les plus manifestes aux Illuminati.
Cette scène est celle des porteurs menant un cercueil vers une tombe calquée sur la pyramide, figurant sur le billet d’un dollar américain avec un œil maçonnique qui voit tout.
Et, les porteurs discutent de leurs plans pour faire de Chauncey le prochain président des États-Unis.
La pyramide rappelle celle similaire à une inspiration maçonnique présentée sur le toit de la Cour suprême israélienne.
Yad Hanadiv a contribué à sa construction, une fondation caritative israélienne assurée par Lord Jacob Rothschild.
David Rockefeller, le fondateur du CFR, entretient une relation personnelle de longue date avec les Rothschild.
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Le CFR était une organisation sœur du Royal Institute for International Affairs (RIIA).
Elles sont deux agences de la Table Ronde, une organisation discrète créée par Lord Nathaniel Rothschild à la demande du magnat du diamant Cecil Rhodes.
Rhodes se consacrait à ‘l’expansion mondiale de la domination britannique’.
Le grand-père de David était John D. Rockefeller, un baron et un voleur de premier plan, dont la conquête de l’industrie pétrolière américaine a été financée par les Rothschild.
Dans un communiqué de presse, David Rockefeller a déclaré à propos de l’actuel baron de la famille:
‘Lord [Jacob] Rothschild et moi nous connaissons depuis cinq décennies.
Le lien entre nos deux familles reste très fort.’ [3]
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Being There est basé sur un roman du Jerzy Kosinski, lequel est né en Pologne et a fait ses études en Union soviétique avant de déménager aux États-Unis, où il a bénéficié du financement de la Fondation Ford, une façade connue de la CIA. [4]
Il est intéressant de noter que le personnage principal du film est le magnat d’affaires vieillissant Ben Rand n’est probablement pas une référence à une seule personne, mais aux personnes derrière la puissante RAND Corporation.
La RAND a été financée par la Fondation Ford, ainsi que la Fondation Rockefeller, ainsi qu’un autre important participant, Henry Kissinger.
Kissinger est un membre du CFR et un promoteur important des Rothschild et des Rockefeller.
Il est plus qu’évident que Trump n’avait pas la compétence pour atteindre le succès financier dont il jouit.
En réalité, après une série de six faillites successives, une série d’études du Financial Times a montré comment les seigneurs du crime russes ont renfloué Trump.
Cette mafia russe est liée à de puissants oligarques proches de Poutine, et ils ont aidé à orchestrer le succès de l’élection présidentielle de Trump.
Cependant, ce que les principaux médias n’explorent pas, ce sont leurs liens avec Henry Kissinger, le CFR et les Rothschild.
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Le 18 décembre 2016 à Face the Nation, Kissinger a déclaré:
‘Je ne doute pas que les Russes nous piratent’.
Et, j’espère que nous faisons du piratage là-bas.’
‘Mais c’est très difficile de communiquer à ce sujet.
Parce que personne ne veut admettre l’ampleur de ce qu’ils font.’
Dans la même interview, Kissinger a décrit Poutine comme un personnage de Dostoïevski; et il a déclaré:
‘Et, c’est un homme avec un grand sens de la connexion, et une connexion intérieure à l’histoire russe, telle qu’il la voit.’ [5]
Kissinger a ensuite fait remarquer:
‘Je n’avais pas pensé au président Trump, comme candidat à la présidence, jusqu’à ce qu’il devienne président.’
Mais Kissinger a décrit Trump, comme ‘un phénomène que les pays étrangers n’ont pas vu […]. Et, je crois qu’il a la possibilité d’entrer dans l’histoire en tant que président très important.’
Kissinger attribue à Trump le mérite d’avoir ‘analysé un aspect de la situation américaine, développé une stratégie (AUDIO GAP) envers sa direction de son propre parti et l’avoir emporté.’
Kissinger a déclaré:
‘Je pense qu’il opère par une sorte d’instinct, qui est une forme d’analyse différente à la mienne plus académique.’
‘Mais il a soulevé un certain nombre de questions qui, à mon avis, sont importantes, très importantes.
Et, s’ils sont traités correctement, ils pourraient conduire à de bons, d’excellents résultats.’ [6]
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Sputnik a rapporté que Kissinger conseillait Trump sur la manière de ‘rapprocher les États-Unis et la Russie pour compenser le renforcement militaire de la Chine.’ [7]
Paul Craig Roberts, un ex-collègue pendant des années de Kissinger au Centre d’études stratégiques et internationales (CSIS), a expliqué que Kissinger s’efforce d’améliorer les relations avec la Russie, afin qu’elle rompe sa collaboration stratégique avec la Chine.
Comme l’explique Roberts:
‘Kissinger […] est au courant des élites pro-américaines en Russie; et, il travaille à créer pour eux une “menace chinoise” qui leur permettra de mener la Russie dans les bras de l’Occident.
Si cet approche réussit, la souveraineté de la Russie sera érodée exactement comme l’a été pour tous les autres pays alliés aux États-Unis.’ [8]
Camarade Heinz
Les récentes recommandations de Kissinger à Trump proviennent d’une longue histoire de diplomatie enclin à des intérêts Russes.
D’après le colonel Michal Goleniewski, un ancien agent du KGB, les services secrets soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale ont recruté Kissinger. [9]
Après sa défection en janvier 1961, Goleniewski a travaillé pour la CIA.
Puis, après sa prétention d’être le tsarévitch Alexei Nikolaevich de Russie, un héritier apparent du trône russe, il est discrédité.
Néanmoins, Goleniewski était en charge de découvrir une longue liste d’agents et d’officiers du KGB et du GRU.
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L’historien Richard A. Moss du Naval War College a publié une étude de référence, intitulée ‘Nixon’s Back Channel to Moscow: Confidential Diplomacy and Détente’*.
[*‘Un canal de communication (informel) de Nixon vers Moscou: diplomatie confidentielle et détente’]
Il révèle qu’en 1968, après sa nomination en tant que Conseiller à la sécurité nationale de Nixon, Kissinger a établi son back channel [voie de communication informelle] personnel vers les dirigeants soviétiques.
Kissinger a utilisé Boris Sedov, un agent connu du KGB rencontré en visite à Harvard, à qui, il partage son intérêt pour l’amélioration des relations américano-soviétiques.
De plus, dans ses mémoires ‘The First Directorate’, Oleg Kalugin, responsable d’un bureau du KGB à Washington s’est vanté que le back channel de Kissinger a forgé une ligne [de communication] directe entre Nixon et Brejnev.
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Kalugin soutient que le KGB a préféré Nixon à son rival électoral, Hubert Humphrey, parce que personne n’oserait accuser Nixon d’être indulgent envers le communisme.
Selon Kalugin:
‘À maintes reprises, lors de réunions avec Sedov, Kissinger nous a dit de ne pas sous-estimer les capacités politiques de Nixon, de ne pas surestimer son anticommunisme et de ne pas prendre au pied de la lettre les déclarations de la campagne radicale de Nixon.
Kissinger a déclaré à Sedov que, si Nixon ‘était élu, il lutterait pour une nouvelle ère d’amélioration des relations entre les deux superpuissances.’ [10]
Ce n’est qu’après l’investiture de Nixon que Kissinger et l’ambassadeur soviétique, Anatoly Dobrynin, conviennent que toute communication ultérieure se ferait par son intermédiaire.
Nixon a accepté de mettre en place à la Maison Blanche une ligne téléphonique sécurisée le reliant directement à Dobrynin.
Selon Moss, les agences de renseignement américaines, le personnel du Conseil de sécurité nationale et le Pentagone ont été maintenus dans l’ignorance de ces conversations.
Kalugin indique que Sedov s’est ensuite vanté au près de lui de sa réussite à cultiver l’assistant de Kissinger, Richard Allen.
Sedov tentait de le recruter et voire potentiellement le faire chanter [blackamail] pour qu’il devienne un agent.
Cependant, Kalugin a rejeté sa proposition et Sedov et Allen ont maintenu leur relation; et, finalement, Allen est devenu conseiller à la sécurité nationale de Ronald Reagan.
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En tant que secrétaire d’État et conseiller à la sécurité nationale sous les administrations présidentielles de Richard Nixon et Gerald Ford, et partisan de la Realpolitik, Kissinger a joué un rôle de premier plan dans la politique étrangère américaine, entre 1969 et 1977.
Au cours de cette période, il est le pionnier de la politique de détente avec l’Union soviétique.
Il a orchestré l’ouverture des relations avec la République populaire de Chine; et il a négocié les accords de paix de Paris, mettant fin à la guerre par procuration de l’Amérique contre la Russie au Vietnam.
Après avoir quitté ses fonctions en 1977, Kissinger est nommé au Centre d’études stratégiques et internationales (CSIS) de l’Université de Georgetown.
Le conseil d’administration du CSIS comprend de nombreux anciens hauts fonctionnaires, dont Zbigniew Brzezinski, William Cohen, George Argyros et Brent Scowcroft.
L’ancien directeur de la CIA, John Brennan, indique qu’au sein de la communauté du renseignement, le CSIS est connu pour détenir ‘certaines des analyses les plus perspicaces et des idées innovantes pour renforcer notre sécurité nationale.’
En 2013, le rapport ‘Global Go To Think Tanks‘ de l’Université de Pennsylvanie classe le CSIS comme premier groupe de réflexion mondial, dans la catégorie des ‘meilleurs groupes de réflexion sur la défense et la sécurité nationale.‘ [12]
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En 1982, après l’obtention de prêts de Goldman Sachs et d’un consortium de trois autres banques, Kissinger fonde Kissinger Associates (KA). [13]
KA assiste ses clients dans l’identification de partenaires stratégiques et d’opportunités d’investissement, en conseillant les clients sur les relations gouvernementales à travers le monde.
L’entreprise ne divulgue pas sa liste des entreprises clientes et elle empêcherait les clients de reconnaître leur relation.
En 1999, Kissinger a rejoint Mack McLarty pour ouvrir Kissinger McLarty Associates.
McLarty était Conseiller principal du groupe Carlyle et secrétaire général de la Maison Blanche sous Bill Clinton.
Kissinger McLarty [désormais connu sous le nom de McLarty Associates] est une société membre du Council of the Americas, l’organisation commerciale basée à New York, créée par David Rockefeller en 1965. [14]
En novembre 2002 et dans le cadre d’une grande controverse, le président George W. Bush nomme Kissinger pour présider la Commission sur le 11 septembre 2001.
Quand Kissinger est interrogé sur d’éventuels conflits d’intérêts, il démissionne de son poste de président le 13 décembre 2002, évitant ainsi de divulguer sa liste de clients commerciaux. [15]
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En 2003, Kissinger étant à Moscou, il entend George HW Bush prononcer le discours d’ouverture lors d’un dîner pour des chefs d’entreprise russes, incluant Yukos-Sibneft, fondé par Mikhail Khodorkovsky au nom du groupe Carlyle.
Bush était présent pour faciliter un accord de 18 milliards de dollars par le géant pétrolier américain ChevronTexaco pour une participation de blocage dans le nouveau Yukos-Sibneft.
Bush devait conclure aussi un accord de 500 millions de dollars entre Alfa et le groupe Carlyle.
En 2000, Carlyle était le onzième plus grand entrepreneur militaire aux États-Unis et l’un des principaux contributeurs à la campagne présidentielle de George W. Bush.
L’ancien président George HW Bush s’est rendu au moins deux fois en Arabie saoudite, réussissant à obtenir un financement de la famille Ben Laden pour le groupe Carlyle.
Dans les années 1990, l’influence douteuse d’Alfa à Washington a reçu le soutien de hauts démocrates comme Richard Burt et des républicains comme Dick Cheney.
En mai 2017, Alfa intente une action en diffamation contre BuzzFeed pour avoir publié le dossier Trump.
Le rapport allègue des liens financiers et une collusion entre Poutine, Trump et les propriétaires d’Alfa Bank dans le but d’influencer la campagne présidentielle américaine de 2016.
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Selon Forbes, Alfa, un des plus grands groupes d’investissement privés de Russie, a été fondé par Mikhail Fridman.
Fridman est un membre du CFR et le deuxième homme le plus riche de Russie; et, selon le Jerusalem Post, il est le huitième Juif le plus riche du monde. [16]
Fridman est également co-fondateur du Congrès juif russe.
Comme l’ont rapporté les journalistes lauréats du prix Pulitzer, Knut Royce et Nathaniel Heller, ‘selon des sources et des documents russes et américains’, les ‘origines d’Alfa sont encastrées dans l’héritage de la corruption du KGB et du Parti communiste, ainsi que dans le trafic de drogue et des fonds du crime organisé.’ [17]
Un ancien major du KGB a déclaré que la création d’Alfa s’est faite avec des fonds du parti et du KGB; et, elle a rapidement attiré des agents voyous qui ont servi dans des unités de lutte contre le crime organisé.
Un rapport d’un ex-agent du bureau de renseignement américain et un autre officier russe du FSB ont conclu, que depuis le début des années 1990, Alfa est profondément impliquée dans le blanchiment d’argent de fonds russes et colombiennes, ainsi que dans le trafic de drogue de l’Extrême-Orient vers l’Europe.
Le rapport de 2007 de la société mondiale du renseignement Stratfor a relié Fridman et Aven à la mafia de Solntsevo. [18]
Le ‘Moscow Times’ a noté qu’en juin 1998, deux mois avant l’implosion de l’économie russe, le dernier Bush était en visite à Moscou pour l’ouverture somptueuse du bureau de Goldman Sachs en Russie.
Kissinger est un ex-membre du conseil d’administration de Open Russia Foundation de Khodorkovski, un poste qu’il dit avoir accepté à l’invitation de Lord Rothschild; lequel est un autre membre du conseil. [19]
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Pendant des années, Kissinger a promu qu’un meilleur équilibre des pouvoirs entre les États-Unis et la Russie améliorerait la stabilité mondiale.
Dans son autobiographie, Poutine rappelle que dans les années 1990, il a rencontré pour la première fois Kissinger qui lui a posé une série de questions.
Finalement, lui a dit Poutine:
‘J’ai travaillé dans le renseignement.’
Ce à quoi Kissinger a répondu:
‘Toutes les personnes honnêtes ont fait leurs débuts dans le renseignement.
Je l’ai fait aussi.’
Au fur et à mesure que Poutine gagnait du pouvoir politique, devenant finalement président, Kissinger et lui ont entretenu des relations chaleureuses tandis que les États-Unis et la Russie s’éloignaient. [20]
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Le 8 décembre 2015, Kissinger rencontre Poutine, quelques semaines après avoir rencontré Donald Trump, le 17 novembre 2016, et une semaine avant que Poutine et Trump se rencontrent au sommet du Groupe des Vingt en Allemagne.
Ces réunions ont eu lieu malgré le tourbillon de controverses sur l’ingérence russe dans les élections.
De nouveau, en mai 2017, Kissinger rencontre le président Trump à la Maison Blanche, suite à une réunion avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, et l’ambassadeur russe, Sergey Kislyak et un jour après que Trump a limogé le directeur du FBI James B. Comey.
Comey dirigeait l’enquête sur les liens relatifs à la campagne de Trump avec les responsables russes.
L’information est arrivée au public américain grâce à des photos publiées sur Twitter de l’agence de presse d’État russe, Tass; laquelle était la seule à couvrir et à assister à la réunion interdite aux journalistes américains.
Trump a déclaré à ceux présents à la réunion que le licenciement de Comey, qui était ‘fou’ et un ‘vrai taré’, a soulagé sa ‘dure épreuve’. [21]
Puis, Trump a confirmé via Twitter que lors de la réunion, il a partagé des informations sur un potentiel complot d’une compagnie aérienne par l’État Islamique, impliquant une bombe sur un ordinateur portable.
Les informations classifiées, conclues avec la Russie partagées par Trump, préoccupaient énormément les experts du renseignement israéliens car elles risquaient de compromettre un agent israélien. [22]
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Lavrov a d’abord rencontré le secrétaire d’État Rex Tillerson pour discuter de l’Ukraine, de la Syrie et d’autres enjeux bilatéraux.
Ensuite, les journalistes ont été autorisés à entrer dans le bureau ovale, mais au lieu de Lavrov et Kislyak, ils ont trouvé Trump assis seul avec Henry Kissinger. [23]
Kissinger est l’une des rares personnes à pouvoir joindre Trump au téléphone quand il le souhaite, selon un conseiller en transition. [24]
Tillerson et Kissinger font partie des rares Américains à rencontrer fréquemment Poutine. [25]
Lors de leur rencontre du 17 novembre 2016, Kissinger et Trump ont discuté de ‘la Chine, la Russie, l’Iran, l’UE, d’autres événements et problèmes dans le monde.’ [26]
En décembre 2016, suite aux relations effilochées à cause de la crise de Crimée, Kissinger conseille Trump d’accepter ‘la Crimée comme faisant partie de la Russie’ pour favoriser un rapprochement entre les États-Unis et la Russie. [27]
Dans un discours en février 2016 à la Fondation Gorchakov à Moscou, Kissinger a utilisé un langage familier à Alexandre Douguine:
‘Dans l’émergence de l’ordre multipolaire, la Russie doit être considérée comme une composante essentielle du nouvel équilibre mondial, et non principalement comme une menace pour les États Unis.’ [28]
Associés de Kissinger
Le néoconservateur Richard Burt, ancien fonctionnaire du département d’État de Reagan et ambassadeur des États-Unis en Allemagne, est un proche allié de Kissinger.
Il a contribué à l’élaboration du premier grand discours de politique étrangère de Trump à l’hôtel Mayflower à Washington, organisé le 27 avril 2016 par le groupe de réflexion pro-russe, le Center For The National Interest (CFTNI).
Burt a déclaré que le thème principal dont il a parlé à Trump était la nécessité pour les États-Unis de poursuivre une ‘politique étrangère plus réaliste’, dans laquelle les États-Unis éviteraient de rechercher un ‘changement de régime’ à l’étranger, mais plutôt s’auto-protégeraient et préserveraient leurs intérêts à but stratégique. [29]
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Le Président d’Honneur du CFTNI, composé principalement de membres du CFR, est Henry Kissinger.
En plus d’appartenir à Kissinger McLarty, Burt est également conseiller principal du CSIS.
En 1989, le président George HW Bush a nommé Burt négociateur en chef du Traité de réduction des armements stratégiques (START I) entre les États-Unis et l’Union soviétique, avec un rang d’ambassadeur.
De plus, Burt est président de American Committee of the Center for Strategic and International Studies (IISS), fondé en 1958 par des membres du RIIA, vice-président de l’American Council sur l’Allemagne et un membre du CFR.
Burt, ex-conseiller du Carlyle Group, a été affilié à la RAND Corporation et à l’Aspen Institute.
Avec Kissinger, il était affilié à Hollinger International, dont la société mère était Hollinger Inc., une société de médias canadienne basée à Toronto fondée par Conrad Black.
Son journal phare était le Chicago Sun-Times.
Hollinger possédait également le Jerusalem Post et des intérêts dans des chaînes de journaux australiennes et canadiennes.
Les conseils d’administration et conseils consultatifs de Hollinger comprenaient la baronne Margaret Thatcher, Valery Giscard d’Estaing, Zbigniew Brzezinski, le Dr Giovanni Agnelli, William F. Buckley, Newt Gingrich, Richard Perle, Lord Jacob Rothschild, Paul A. Volcker.
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En 1994, l’ancien président Nixon a créé le CFTNI sous le nom de Nixon Center for Peace and Freedom [Centre Nixon pour la paix et la liberté] (renommé en 2011).
Le CFTNI publie The National Interest, son magazine bimensuel de politique étrangère fondé en 1985 par Irving Kristol.
The National Interest a reçu un financement de Hollinger. [30]
James Schlesinger a présidé le conseil consultatif jusqu’à son décès en 2014.
Schlesinger était professeur d’université, chercheur à la RAND, directeur de la CIA en 1973, secrétaire à la Défense de 1973 à 1975 sous les présidents Richard Nixon et Gérald Ford.
Et, il est devenu le premier secrétaire américain à l’énergie sous Jimmy Carter.
Le président émérite de CFTNI est Maurice R. Greenberg, président-directeur général d’American International Group (AIG), qui était la plus grande société d’assurance et de services financiers de l’histoire.
Maurice R. Greenberg est l’ex-président, vice-président et administrateur de la Federal Reserve Bank de New York.
Puis, il a été vice-président et directeur du CFR et un membre de la commission trilatérale de David Rockefeller.
Il était président et administrateur de l’actuel Asia Society, un administrateur émérite de l’Université Rockefeller et un administrateur honoraire du Museum of Modern Art; lesquelles sont trois institutions fondées par la famille Rockefeller.
Le président du CFTNI est le général Charles Boyd, directeur de programme du CFR et président de Business Executives for National Security.
Le vice-président du CFTNI est Drew Guff, membre du CFR, qui a joué un rôle déterminant dans la création de Russia Partners Company, le premier grand fonds de capital-investissement à investir en Russie, et au conseil d’administration de la Fondation Eurasia.
Le vice-président est Richard Plepler, PDG de HBO, une société de Time Warner.
Un autre vice-président, Dov Zakheim, est également membre du CFR, de l’IISS et chercheur adjoint de la Heritage Foundation.
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Parmi les autres membres du conseil figurent Graham Allison, professeur à la John F. Kennedy School of Government de Harvard, qui figurait parmi ceux mentionnés pour succéder à David Rockefeller à la présidence du CFR; Jeffrey Bewkes, PDG de Time Warner; Leslie Gelb, ancien correspondant et chroniqueur du New York Times, et actuellement président émérite du CFR.
Se trouvait aussi, le gouverneur Jon Huntsman, ancien ambassadeur en Chine, qui a été choisi par Trump pour être le prochain ambassadeur en Russie. [31]
Puis était présent David Keene, rédacteur d’opinion du Washington Times, président de la NRA et président de l’Union conservatrice américaine; Zalmay Khalilzad de la RAND, et un ancien ambassadeur en Afghanistan et à l’ONU; David McCormick, administrateur de l’Aspen Institute et de l’Université Carnegie Mellon, membre de la Commission trilatérale, du CFR et de l’Aspen Strategy Group.
Le milliardaire Peter Peterson, qui a succédé à David Rockefeller en tant que président du Council on Foreign Relations [CFR] en 1985 et a servi jusqu’à sa retraite en 2007, est également membre du conseil d’administration.
Peterson est actuellement administrateur de la Japan Society [Société japonaise] de la famille Rockefeller et du Museum of Modern Art; et, il était auparavant membre du conseil d’administration de Rockefeller Center Properties, Inc.
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En 1985, Peterson et Stephen A. Schwarzman, qui ont auparavant travaillé ensemble chez Lehman Brothers, Kuhn, Loeb Inc., ont fondé Blackstone Group, la plus grande société d’investissement alternative au monde.
Blackstone Group est situé à River House sur Park Avenue à Fifty-first Street, dans un bâtiment également occupé par Kissinger Associates.
Comme l’a rapporté Alana Goodman pour ‘The Free Beacon’, les liens du Centre avec la Russie s’étendent à toute l’organisation.
Le conseil consultatif de National Interest comprend Alexey Pushkov, un responsable de la Douma russe, qui a été la cible de sanctions du gouvernement américain en réponse à l’invasion russe de l’Ukraine.
Pouchkov a été critiqué pour avoir affirmé que l’administration Bush a orchestré les attentats du 11 septembre 2001 et pour avoir imputé la fusillade de 2013 du Navy Yard à ‘l’exceptionnalisme américain’. [32]
Un groupe de réflexion soutenu par le Kremlin, l’Institut pour la démocratie et la coopération (IDC), est créé à New York en 2008 sous la direction du conseiller de Poutine, Andranik Migranyan; lequel s’associe souvent au CFTNI.
Migranyana est sélectionné pour diriger l’IDC par Sergueï Lavrov, selon un câble confidentiel du Département d’État publié par WikiLeaks. [33]
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Goodman suggère que l’IDC est né lorsque le conseiller du Kremlin Gleb Pavlovsky, l’oligarque russe Oleg Deripaska et Paul Manafort ont discuté de la formation d’un groupe de réflexion financé par la Russie, comme l’a rapporté en 2005 le journal russo-américain Kommersant. [34]
Selon Forbes, Deripaska est le sixième homme le plus riche de Russie, avec une fortune estimée à 13,3 milliards de dollars. [35]
En 2001, environ un an après que Poutine a signé un décret accordant l’immunité légale à la famille d’Eltsine, Deripaska a épousé la petite-fille d’Eltsine, cimentant ainsi sa propre immunité et influence. [36]
En 2010, le Financial Times a publié un article explorant les relations commerciales de Deripaska avec Sergei Popov et Anton Malevsky, chefs présumés des bandes du crime organisé russe. [37]
Le principal conseiller de Deripaska est Nathaniel Rothschild, fils de l’actuel baron de la famille, Lord Jacob Rothschild.
Nathaniel a joué un rôle crucial en 2000, lorsque Deripaska et Roman Abramovich ont créé un partenariat et fondé RUSAL, la plus grande entreprise d’aluminium au monde. [38]
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Abramovich est le principal propriétaire de la société d’investissement privée, Millhouse LLC; et, est surtout connu en dehors de la Russie en tant que propriétaire du Chelsea Football Club, un club de Premier League.
Dans leur biographie d’Abramovich en 2004, les journalistes britanniques Chris Hutchins et Dominic Midgely décrivent la relation entre Poutine et Abramovich comme celle entre un père et le fils préféré. [39]
À l’origine, Abramovich est le premier à recommander à Eltsine que Poutine soit son successeur. [40]
Abramovich et son collègue oligarque Lev Leviev allaient devenir les plus grands mécènes de la branche Chabad Loubavitch dans le monde. [41]
L’Associated Press a rapporté que dès 2005, Manafort a secrètement travaillé pour Deripaska sur une stratégie confidentielle, selon laquelle, il influencerait la politique, les relations d’affaires et la couverture de l’actualité aux États-Unis, en Europe et dans les anciennes républiques soviétiques pour ‘bénéficier grandement au gouvernement de Poutine’. [42]
Manafort a déclaré à Deripaska qu’il poussait des politiques dans le cadre de son travail en Ukraine ‘aux plus hauts niveaux du gouvernement américain – la Maison Blanche, Capitol Hill et le Département d’État.’ [43]
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Selon The Nation, le partenaire commercial de Deripaska, Nathaniel Rothschild, détient une participation dans Diligence LLC, dans laquelle Burt a servi en tant que président exécutif. [44]
basée à Washington, Diligence est une société de renseignement mondiale privée avec William Webster, ancien directeur de la CIA et du FBI à son conseil consultatif. [45]
Diligence est cofondée par Nicholas Day, un ancien officier du M15.
Le président-directeur de Diligence est Michael Howard, l’ancien chef du parti conservateur britannique.
En 2007, Diligence LLC est inculpée pour des allégations d’espionnage d’entreprise dans une affaire impliquant le groupe Alfa, pour lequel Burt a travaillé en tant que conseiller, travaillant en étroite collaboration avec son co-fondateur, Mikhail Fridman.
Fridman est membre du CFR et le deuxième homme le plus riche de Russie. [46]
Diligence a offert à Deripaska une collecte de renseignements commerciaux, un lobbying pour les visas et une aide pour obtenir un prêt de 150 millions de dollars de la Banque mondiale et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement.
Un financement qui a été utile pour fournir une couverture aux investisseurs occidentaux préoccupés par RUSAl. [47]
Par ailleurs, pendant la campagne, Burt a écrit des livres blancs pour Jeff Sessions sur la politique étrangère et la sécurité nationale.
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En 2014, avec Dimitri Simes, un ami proche de Poutine et président de CFTNI et éditeur de The National Interest, Burt a été conseiller en politique étrangère pour la campagne présidentielle de Rand Paul.
Simes est né à Moscou, où il est diplômé de l’Université d’État de Moscou.
Il a étudié et travaillé à l’Institut de l’économie mondiale et des relations internationales [Institute of the World Economy and International Relations], un groupe de réflexion qui était influent sur la politique étrangère en Union soviétique, tout en étant également secrétaire adjoint de la Ligue des jeunes léninistes (VLKSM – Young Leninist League). [48]
En 1973, Simes émigre aux États-Unis, il est choisi pour diriger le CFTNI en 1994 par Nixon et il est devenu son conseiller informel en politique étrangère.
Régulièrement, Simes se rend avec Nixon en Russie, d’autres anciens États soviétiques, en Occident et en Europe centrale.
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Avant la création du CFTNI, Simes était président du Centre des programmes russes et eurasiens du Carnegie Endowment for International Peace, où il était aussi le principal associé.
Auparavant, il était directeur de Soviet and East European Research Program et professeur de recherche de Soviet Studies at the Nitze School of Advanced International Studies (SAIS) de l’Université Johns Hopkins.
Avant de travailler au SAIS, Simes était chercheur principal, puis directeur des études soviétiques au Center for Strategic and International Studies.
Simes est l’auteur de After the Collapse: Russia Seeks its Place as a Great Power (1999) [Après l’effondrement: la Russie cherche sa place en tant que grande puissance], qui prédisait la montée du nationalisme autoritaire russe.
Un expert en politique russe basé à Washington a noté que ‘personne ne s’adresse directement à Poutine au niveau de Dimitri Simes’.
‘Cela ne se produit tout simplement pas.’ [49]
En 2013, Simes a participé au Valdai International Discussion Club aux côtés de Poutine, où tous deux ont pris part à une table ronde de deux heures.
D’autres participants étaient l’ancien ministre de la Défense allemande et les premiers ministres de France et d’Italie.
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Depuis 2004, Poutine rencontre les participants du Valdai Club chaque année.
Parmi de nombreux autres responsables du Kremlin assistant aux réunions de Valdai figurent le Premier ministre Dmitri Medvedev; le chef de cabinet du bureau exécutif présidentiel, Sergueï Ivanov; le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov; le ministre de la Défense, Sergueï Choïgou; et d’autres. [50]
Le 27 février 2017, CFTNI a organisé une conférence sur ‘L’avenir des relations entre les États-Unis et la Russie.’
L’orateur, le Dr Andrey Sushentsov, travaille pour le ministère des Affaires étrangères, et, il est associé directeur du groupe consultatif de politique étrangère de Moscou et directeur de programme de la Fondation Valdai.
Écrivant dans The National Interest, Simes prédit une reprise d’une nouvelle guerre froide, avertissant que la Russie est capable d’infliger plus de dégâts que cela aux États-Unis, et que les Américains devraient chercher à normaliser leurs relations avec la Russie. [51]
‘Washington devrait le faire sans illusions et en position de force.’ [52]
De même, lors de son discours de politique étrangère à l’hôtel Mayflower, Trump a déclaré qu’un apaisement des tensions et une amélioration des relations avec la Russie, en position de force, sont possibles.
Au premier rang était assis l’ambassadeur russe, Sergey Kislyak. [53]
Simes, l’éditeur de The National Interest et l’organisateur de l’événement ont présenté Kushner à Kislyak et à trois autres ambassadeurs. [54]
Back Channels
Comme son mentor Henry Kissinger, un élément clé des tentatives diplomatiques de Kushner impliquerait la création de back channels directs vers les Russes.
Avant l’inauguration, Kushner a rencontré l’ambassadeur russe Sergey Kislyak.
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CNN a allégué que les responsables du renseignement américain ont affirmé que Kislyak était l’un des meilleurs espions et recruteurs d’espions russes, ce que les responsables russes ont démenti. [55]
Par ailleurs, Kusher a rencontré Sergey Gorkov, un proche de Poutine formé par les services de renseignement russes, et il dirige une banque d’État placée sur une liste de sanctions américaines. [56]
Pourtant, Kushner a omis de divulguer ses contacts et des dizaines d’autres, lors de sa demande d’habilitation de sécurité confidentielle.
Cette autorisation de sécurité exigeait de signaler toutes les rencontres avec des responsables gouvernementaux étrangers au cours des sept dernières années. [57]
Kushner a également omis de divulguer ses liens commerciaux avec George Soros, Peter Thiel et Goldman Sachs, ou qu’il doit 1 milliard de dollars de prêts. [58]
Ceci en dépit du fait que non seulement Soros est un poids de la propagande russe en tant que ‘mondialiste‘ de premier plan et un partisan des causes libérales.
Et, il a fait l’objet de nombreuses théories du complot de droite discréditées, en particulier, largement blâmé sur le droit d’avoir prétendument payé des manifestants anti-Trump comme à des rassemblements publics et à la marche des Femmes depuis son lancement.
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La rencontre avec Kislyak était également le choix de Trump pour le procureur général Jeff Sessions.
Pendant ses audiences de confirmation, Sessions a déclaré qu’il n’a pas eu de contact avec des responsables russes lors de la campagne présidentielle de 2016.
En mars 2017, des reportages ont révélé que Sessions a rencontré Kislyak à deux reprises en 2016.
Un ancien responsable a déclaré que les renseignements indiquaient que Sessions et Kislyak ont discuté sur des points telles que les positions de Trump concernant la Russie et les perspectives des relations américano-russes dans l’administration de Trump.
Par la suite, Sessions s’est récusé de toute enquête sur l’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016, tandis que certains législateurs démocrates ont appelé à sa démission.
The New York Times a rapporté la déclaration de la Maison Blanche, laquelle est que Kushner et le retraité Lieutenant-général Michael T. Flynn, le nouveau conseiller à la sécurité nationale de Donald J. Trump, a eu une réunion non divulguée avec Kislyak en décembre 2016.
Leur but était ‘d’établir une ligne de communication’ entre la nouvelle administration et le gouvernement russe. [60]
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Michael Cohen, l’avocat personnel de Trump, ainsi que Felix Sater, l’associé commercial de Trump affilié à la mafia russe Loubavitch, et le législateur ukrainien Andrii V. Artemenko, ont présenté un plan de ‘paix’ pour la Russie et l’Ukraine à Flynn, avant la demande de sa démission le 13 février 2017.
Le plan prévoyait la levée des sanctions contre la Russie en échange du retrait par Moscou de son soutien aux séparatistes pro-russes dans l’est de l’Ukraine.
Et, il permettrait à la Russie de garder le contrôle sur la Crimée, qu’elle a annexée en 2014. [61]
Par ailleurs, Erik Prince, l’ancien fondateur de Blackwater, était un fervent partisan de Trump.
Le 17 janvier 2017, The Intercept rapporte que Prince conseillait Trump ‘dans l’ombre’.
En juillet, Prince déclare à Steve Bannon que l’administration Trump devrait recréer une version du Programme Phoenix pour combattre l’ISIS. [62]
Selon des responsables américains, européens et arabes, le 11 janvier 2016, neuf jours avant l’investiture de Trump, dans le cadre d’un effort visant à établir une communication informelle entre Trump et le Krelim, les Émirats arabes unis organisent une rencontre secrète entre Prince et un Russe proche de Poutine. [63]
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Flynn est le co-auteur de ‘The Field of Fight: How We Can Win the Global War Against Radical Islam and Its Allies’* (publié en 2016), avec un néoconservateur et un ancien agent Gladio, Michael Ledeen.
[*Le champ de bataille: comment gagner la guerre mondiale contre l’islam radical et ses alliés]
Flynn considère l’Islam comme l’une des causes profondes du terrorisme islamiste, décrivant la religion comme une idéologie politique et un ‘cancer’.
Dans un post sur Twitter, il déclare que la ‘peur des musulmans est RATIONNELLE’, tout en incluant un lien vers une vidéo, affirmant que l’islam veut ‘80% des personnes réduites en esclavage ou exterminées.’ [64]
Flynn a été membre du conseil d’administration d’ACT! for America, un groupe politique conservateur américain fondé en 2007, ‘promouvant la sécurité nationale et pour vaincre le terrorisme.’
Laurie Goodstein du New York Times déclare, qu’il ‘… s’appuie sur trois courants plutôt religieux et partisans dans la politique américaine: les conservateurs chrétiens évangéliques, les défenseurs purs et durs d’Israël (juifs et chrétiens) et les républicains du Tea Party.’ [65]
Les membres d’ACT! ont présenté le projet de loi anti-étranger de David Yerushalmi (également connu sous le nom de projet de loi anti-charia) dans plusieurs organes législatifs d’État, l’accompagnant d’un ‘blitz de sensibilisation publique sur la “menace” de la charia pour l’Amérique.’ [66]
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En 2013, en tant que directeur de la Defense Intelligence Agency* (DIA), Flynn s’est rendu à Moscou, où il est devenu le deuxième directeur de la DIA à être invité au siège du GRU*, bien qu’il se vantera plus tard d’être le premier.
Un ancien haut responsable militaire américain a déclaré que ‘Flynn pensait avoir développé des relations avec le chef du GRU.’ [67]
[*DIA – Defense Intelligence Agency est une des agences du renseignement des États-Unis qui fonctionne sous la juridiction du département de la Défense. /
*GRU – La direction générale des renseignements de l’État-Major des Forces armées de la fédération de Russie est le service de renseignement militaire de la Russie.]
Les enregistrements montrent que Flynn a collecté près de 68 000 dollars de frais et dépenses auprès d’entités liées à la Russie en 2015.
La majorité du financement de plus de 45 000 dollars, provenait de Russia Today [RT], lors de son invitation pour un gala à Moscou en l’honneur de RT, où il a participé à une table ronde sur ‘La géopolitique de 2015 et l’évolution du rôle de la Russie dans le monde.’ [68]
Flynn, après sa retraite en tant que fonctionnaire gouvernemental, a fait des apparitions en tant qu’analyste sur RT, où il était assis à côté de Poutine et à la même table que la candidate du Parti vert, Jill Stein.
Selon le dossier Trump, un responsable du Kremlin lié aux relations avec les États-Unis a déclaré, que les opérations russes impliquaient de soutenir diverses personnalités politiques, en finançant indirectement leurs récentes visites à Moscou et une délégation de Lyndon Larouche, Jill Stein, Carter Page et Michael Flynn.
Collusion russe
En outre, il est rapporté que Kushner a rencontré Sergey Gorkov, un proche de Poutine et formé par les services de renseignement russes.
Gorkov dirige une banque d’État placée sur une liste de sanctions américaines. [69]
Régulièrement, VEB, la banque de Gorkov, est utilisée par le Kremlin pour financer des projets politiquement importants, y compris une partie de l’infrastructure des Jeux olympiques de Sotchi en 2014; laquelle a coûté au gouvernement russe un total d’environ 50 milliards de dollars.
VEB a employé et financé la défense d’un agent du renseignement russe, Evgeny Buryakov.
Après avoir plaidé coupable et condamné en 2016 à une peine de prison pour son rôle dans un réseau d’espionnage, Buryakov est expulsé en avril 2017
En 2013, ce réseau a tenté de recruter Carter Page, un conseiller en politique étrangère de la campagne Trump, qui cherchait à faire affaire avec Gazprom.
Au début des années 2000, un autre conseiller de la campagne de Trump, Michael Caputo, a travaillé pour Gazprom Media. [70]
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Jared et Roman Abramnovich, le confident de Poutine, se sont rencontrés trois à quatre fois dans des lieux publiques, et leurs femmes sont amies depuis une décennie. [71]
Wendi Denga, l’ex-femme de Rupert Murdoch, a présenté Jared et Ivanka à la femme d’Abramovich, Dasha Zhukova.
Deng est aussi l’une des amis les plus proches d’Ivanka et une amie de Karlie Kloss, la petite amie de longue date du frère de Kushner, Josh. [72]
La rumeur disait que Deng sortait avec Poutine, ce qu’elle a nié depuis. [73]
En août 2016, ils sont tous invités sur le yacht de 200 millions de dollars au large des côtes de la Croatie de David Geffen, un magnat de la médecine.
Et, quelques semaines plus tard, ils sont conviés à l’US Open. [74]
Zhukova aurait assisté à l’inauguration de Trump en tant qu’invitée d’Ivanka. [75]
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Au début de 2014, quelques mois après le concours Miss Univers de Moscou et les Jeux olympiques de Sotchi, Jared, Ivanka et Abramovich sont présents à un événement caritatif, composé de représentants de la banque russe Alfa et de nombreux oligarques russes.
De plus, Wilbur Ross, le Secrétaire au Commerce de Trump, est un partenaire de la Banque de Chypre, dont son coprésident Vladimir Strzhalkovskiy qui a servi au côté de Poutine au KGB dans les années 1980, étaient présents. [76]
Lorsque Trump s’est retrouvé en difficulté financière, tandis que ses trois casinos d’Atlantic City sont sous la menace d’une saisie par des prêteurs, Wilbur Ross, le principal directeur général de NM Rothschild & Sons, l’a renfloué.
Ross, surnommé le ‘roi de la faillite’, est spécialisé dans les rachats par emprunt et les entreprises en difficulté.
À la fin des années 1970, Ross a commencé à 24 ans au bureau de New York de NM Rothschild & Sons, où il dirigeait le cabinet de conseil en restructuration [en matière de faillite].
Avec Carl Icahn, Ross a convaincu les détenteurs d’obligations de conclure un accord avec Trump pour lui permettre de garder le contrôle des casinos.
Ross a eu des liens financiers directs avec plusieurs dirigeants oligarques de Russie et de l’ex-Union soviétique.
En février 2017, Forbes répertorie Ross comme l’un des milliardaires du monde d’une valeur nette de 2,5 milliards de dollars.
Depuis 2014, Ross est vice-président et investisseur majeur de la Bank of Cyprus, la plus grande banque de Chypre, l’un des principaux paradis offshore pour la finance illicite russe.
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Depuis les années 1990, Chypre est l’une des trois principales destinations offshore pour les fuites de capitaux de la Russie et de l’ex-Union soviétique, principalement motivée par l’évasion fiscale, la kleptocratie et le blanchiment d’argent.
Selon l’Associated Press, à partir de 2006, Deripaska a effectué des paiements annuels de 10 millions de dollars à Paul Manafort par l’intermédiaire de la Banque de Chypre pour faire avancer l’agenda mondial de Poutine. [77]
La Banque de Chypre Bank [Cyprus] est dirigée par le PDG John Hourican, l’ancien responsable de la banque d’investissement de la Royal Bank of Scotland [RBS], dont il a démissionné après que le groupe a convenu d’un réglement avec les autorités américaines et britanniques sur le Libor.
En 2014, la banque a choisi l’ancien directeur de la Deutsche Bank, Josef Ackermann, comme président de Bank of Cyprus.
Pendant le mandat d’Ackermann, la banque a payé entre 630 et 650 millions de dollars d’amendes au motif d’un blanchiment de 10 milliards en fonds russes; lequel est possiblement lié à la famille et des associés de Poutine.
Par ailleurs, la Deutsche Bank a été et est toujours le principal créancier de Trump, et pendant longtemps, la seule grande banque qui lui prêtait des sommes considérables. [78]
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La nomination d’Ackermann est soutenue par Ross et Viktor Vekselberg, l’un des hommes les plus riches de Russie, étroitement lié au Kremlin, et dont son groupe Renova est le deuxième plus grand actionnaire de Bank of Cyprus.
Vekselberg et Len Blavatnik ont constitué la boite d’investissement Renova et ils se sont joints au groupe Alfa de Fridman pour former l’entreprise AAR.
Le Wall Street Journal a rapporté que, Sir Leonard ‘Len’ Blavatnik, le milliardaire d’origine ukrainienne est compté parmi des riches donateurs du Parti Républicain, que Trump utilise pour financer ses procédures juridiques concernant l’investigation anti-Russie.
Nommé l’homme le plus riche de Grande-Bretagne en 2015, Blavatnik a fondé Access Industries, qui possède désormais Warner Music Group.
Vekselberg et Blavatnik détiennent une participation commune de 15,8 % dans RUSAL.
De plus, Blavatnik est associé à des enquêtes concernant son ami Benjamin Netanyahu sur les prétendues tentatives d’influencer les médias israéliens, alors qu’il était à la fois Premier ministre et ministre des Communications en Israël. [79]
Au cours de la saison électorale 2015-2016, Blavatnik a versé un total de 6,35 millions de dollars à Trump et aux comités d’action politique de Mitch McConnell, Marco Rubio, Scott Walker, Lindsey Graham, John Kasich et John McCain.
Blavatnik a fait don d’un autre million de dollars au comité inaugural de Trump. [80]
Vekselberg et Blavatnik étaient tous deux au gala auquel assistaient Jared et Ivanka, tout comme Alexey Reznikovich, le responsable de LetterOne Technology, qui est contrôlé par Mikhail Fridman du groupe Alfa.
Au Gala se trouvait aussi Ekaterina Vinokourova, la fille du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, avec son époux Alexander Vinokourova, qui siège au conseil d’administration du groupe Alfa. [81]
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En mai 2017, Alfa a intenté une action en diffamation contre BuzzFeed pour sa publication du dossier Trump.
Le rapport allègue des liens financiers et une collusion entre Poutine, Trump et les propriétaires d’Alfa Bank dans le but d’influencer la campagne présidentielle américaine de 2016.
Dans le Dossier Trump, un haut responsable du gouvernement russe rapporte que Petr Aven et German Khan, des dirigeants du groupe Alfa, sont en très bons termes avec Poutine; lesquels lui fournissent des conseils informels sur la politique étrangère, et particulierement sur les États-Unis.
Un intermédiaire clé est Oleg Govorun, chef d’un département de l’administration présidentielle et un proche allié de Vladislav Sourkov. [82]
Précédément, il semble que Govorun a servi comme ‘homme de sac’ d’Alfa livrant de l’argent illicite à Poutine lorsqu’il était maire de Saint-Pétersbourg.
Le Dossier sur Poutine allègue qu’Alfa était comptabilisée comme ‘kompromat’.
Et, Poutine à son tour a pu utiliser sa propre influence politique pour inciter Alfa à lui obéir.
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Le 31 octobre et le 2 novembre 2016, Slate a signalé une activité répétée inhabituelle entre deux serveurs informatiques enregistrés auprès d’Alfa Bank à Moscou et un serveur appartenant à l’organisation Trump.
De plus, l’activité comprenait des communications avec un serveur de Spectrum Health, une chaîne d’établissements médicaux dirigée par Dick DeVos, le mari de Betsy DeVos. [80]
Le 10 mars 2017, CNN rapporte que le FBI continuait d’enquêter sur l’activité informatique inhabituelle de l’été 2016, entre Alfa Bank et la Trump Organization.
Les médias ont signalé cette activité juste avant l’élection présidentielle. [81]
En juin 2017, le président Trump a nommé Brian Benczkowski, l’ancien avocat d’Alfa, pour devenir procureur général adjoint de la division criminelle du ministère de la Justice des États-Unis.
par David Livingstone
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Great work, thank you.
I am always amazed how anyone believes Trump is the ‘anti establishment’ figure? The most Zionist US president ever. Led by Jared Kushner. And he had just as much dealings with Ghislaine Maxwell and Jeffrey Epstein as Bill Clinton did. And all of this you very rightly show us here about Kissinger too. Yet the Qanon cultists and MAGA followers somehow conveniently overlook all of these things.