‘Is the Coronavirus Scare a Psychological Operation?‘,
3 juin 2020
sur Dig Within
Historiquement, les gouvernements ont utilisé la guerre psychologique pour manipuler l’opinion publique, obtenir un avantage politique et générer des profits.
Les gouvernements occidentaux se sont engagés dans de telles tactiques dans la guerre contre le terrorisme et contre le communisme.
Le terrorisme parrainé par l’État et la propagande ont servi à déformer la perception du public, à l’égard des menaces, de façon à accroître les avantages financiers de multinationales et le contrôle gouvernemental sur la société.
Il semble que les mêmes types d’effets sont observés à la suite de la pandémie COVID-19.
Évidement, des caractéristiques et des résultats observés lors de la guerre contre le terrorisme et la guerre contre le communisme sont constatés dans cette nouvelle ‘guerre contre la mort’.
Par conséquent, il est raisonnable de se poser la question suivante.
La réponse extrême au COVID-19, et son virus associé SARS-COV-2, serait-elle une autre opération psychologique contre le public?
Les études sur la maladie et les mesures disproportionnées mettent en évidence cette possibilité.
Si la ‘COVID-19’ est cooptée pour manipuler le public, par la promotion d’une menace et l’encouragement à des résultats exploitables, qui est derrière?
Et, à qui cela profite?
Premièrement, examinons les caractéristiques et les objectifs de la ‘peur du coronavirus’ par apport à la ‘peur rouge’, qui a conduit à la perception d’une menace communiste, et la ‘peur des musulmans’ érigée par une menace terroriste.
Voici une douzaine de caractéristiques que partagent ces menaces perçues.
- Basé sur la peur et dirigé à l’échelle mondiale
- Saturation des médias avec un parti pris en faveur de la peur
- Manipulation de données et propagande
- Censure des opinions opposées
- Agence de renseignement du contrôle de l’information
- Précédé d’exercices mimant la menace
- Série d’allégations qui se révèlent par la suite fausses
- La réponse menace la démocratie
- Forte augmentation de la richesse et du pouvoir pour quelques-uns; augmentation des inégalités sociales
- Contrôle accru du gouvernement sur le public et réduction des libertés individuelles
- La réponse tue bien plus que la menace initiale
- Preuve d’événements fabriqués (voir ci-dessous)
Cependant, des différences existent entre la réponse à la pandémie du COVID-19 et les ‘guerres’ contre le communisme et le terrorisme.
Une différence est que pour le virus, les agences dédiées à la santé publique ont pris les devants.
Bien que souvent les principaux personnages, vantant la menace communiste et la menace terroriste sont les mêmes personnes, ils ont tendance à représenter des agences militaires, diplomatiques ou de renseignement.
Les principaux acteurs à l’origine des confinements du coronavirus et des mécanismes liés au contrôle sont les dirigeants politiques.
Or, les directives mises en œuvre proviennent de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une agence des Nations Unies. Et, elle est visiblement responsable de la santé publique internationale.
D’autres contrôlant la peur du coronavirus sont les agences nationales de la santé, notamment les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis et le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni.
Ces agences agissent-elles uniquement dans l’intérêt de la santé publique?
L’OMS
La perception générale est que toute l’affaire a débuté en réponse aux événements en Chine, même si ce fait n’est pas clair.
Par exemple, le virus serait originaire de la ville de Wuhan et, la première mesure restrictive [confinement], s’est produite dans cette région de janvier à mars.
Depuis, la Chine a déclaré avoir mis en garde l’OMS contre le virus au cours de la première semaine de janvier.
Cependant, nous savons que, les services de renseignement américains avaient connaissance de cette éventuelle épidémie auparavant; c’est-à dire en novembre 2019.
Plus tard, un porte-parole chinois a suggéré que l’armée américaine a possiblement importé le virus à Wuhan lors des jeux militaires d’octobre.
Le 9 mars, le premier confinement de tout un pays pour le coronavirus s’effectue en Italie selon Walter Ricciardi, le conseiller gouvernemental italien.
Il a déclaré:
‘La situation risque de devenir incontrôlable et ces mesures sont nécessaires pour maintenir la propagation à distance.’
Par la suite, Ricciardi, membre du comité de l’OMS, admettra que l’Italie a gonflé le nombre de décès du au virus, en déclarant:
‘La façon dont nous codons les décès dans notre pays est très généreuse; dans le sens, où toutes les personnes mourant dans les hôpitaux avec le coronavirus sont considérés décédés du coronavirus.’
Beaucoup ont noté l’influence démesurée du milliardaire Bill Gates sur les activités et la direction de l’OMS.
À partir de 2017, cette influence est devenue inquiétante.
Les défenseurs de la santé craignent que, ‘puisque le financement de la Fondation Gates provient d’investissements de grandes entreprises, qu’il pourrait servir de cheval de Troie aux intérêts des entreprises pour saper le rôle de l’OMS, dans l’établissement des normes et le façonnement des politiques en matière de santé.’
Paul Allen, le co-fondateur de Microsoft, a appelé Gates un magouilleur cruel; et, il n’est pas le seul à avoir cet avis.
Bien qu’il s’engage dans une coûteuse ‘opération de séduction du public’, certains considèrent Gates comme un opportuniste, un prédateur et un monopoliste, qui se dissimule derrière une fausse façade philanthropique.
Concernant, la peur du coronavirus et le but de vacciner toute la masse mondiale, les gens devraient être plus préoccupés par le fait que, Gates a travaillé d’arrache-pied sur des mécanismes du contrôle de la population.
Bien sûr personne ne contrôle encore le monde, alors qui est censé diriger l’OMS à part Bill Gates?
Depuis 2017, le visage de l’OMS est le Dr Tedros Adhanom, le directeur général de l’organisation.
Tedros a une piètre histoire d’éthique en matière de leadership.
De nombreuses accusations sont portées contre lui, notamment, qu’il a dissimulé des épidémies dans le passé.
Les avertissements sur Tedros ont débuté dès sa nomination (2017), quand il a nommé Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté auprès de l’OMS.
Robert Mugabe est l’ancien dictateur du Zimbabwe.
Le régime de Mugabe au Zimbabwe était dominé par ‘des meurtres, des effusions de sang, des tortures, des persécutions d’opposants politiques, des intimidations et des fraudes électorales à grande échelle.’
Cette nomination indiquait que le jugement de bonne volonté de Tedros était au mieux douteux.
Une lettre d’un groupe de médecins américains a même expliqué pourquoi Tedros est devenu connu sous le nom de ‘Dr. Cover Up‘.
Ils ont écrit:
‘Votre silence sur ce qui est clairement une épidémie de choléra massive au Soudan devient chaque jour plus répréhensible.
L’histoire inévitable qui sera écrite de cette épidémie de choléra vous projettera sûrement sous un jour impitoyable.’
Ils ont ajouté que Tedros était ‘pleinement complice des terribles souffrances et des décès, qui continuent de se propager en Afrique de l’Est.’
Cependant, les problèmes à l’OMS n’ont pas commencé avec Tedros.
Après la pandémie H1N1 de 2009, des preuves ont montré que l’OMS a exagéré le danger et, qu’elle a répandu la peur et la confusion plutôt que des informations utiles.
Puis, on a appris que, ‘l’Italie, l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni ont conclu des accords secrets avec des sociétés pharmaceutiques’.
Ces accords ‘obligeaient les pays à acheter des vaccins uniquement si l’OMS élevait la pandémie à un niveau 6.’
Afin de tenir compte de ces contrats, l’OMS a modifié ses directives qui définissent une pandémie.
Elle a augmenté ainsi la peur du public alors que la pandémie n’est jamais devenue une menace sérieuse.
Même si l’OMS a reçu des éloges sur ses travaux de réduction de maladies comme la polio, il a été constaté que les médicaments et les vaccins recommandés par l’OMS se sont ‘avérés nocifs et sans effet clinique significatif’.
Une vue d’ensemble suggère que l’OMS est davantage une agence au service des intérêts des entreprises qu’une organisation engagée dans la préservation de la santé publique.
Ce n’est pas surprenant, puisque 80% du financement de l’OMS provient de ‘contributions volontaires’ fournies par des donateurs privés.
Ces donateurs sont des sociétés pharmaceutiques et des groupes industriels, comme l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) de Bill Gates.
Et, puisque la réponse mondiale au COVID-19 est dirigée et coordonnée par une organisation fonctionnant au nom de sociétés multinationales susceptibles d’en profiter, l’idée que la peur du coronavirus est une opération psychologique semble plausible.
Les CDC
Aux États-Unis, les CDC sont également fortement influencés par les intérêts commerciaux et politiques.
C’est apparu plus claire en 2016, quand un groupe de scientifiques chevronnés des CDC ont déposé une plainte en matière d’éthique contre l’agence.
Ils ont avancé cette juste affirmation:
‘Il semble que notre mission soit influencée et façonnée par des parties extérieures et des intérêts voyous.’
Les scientifiques note qu’afin de poursuivre des objectifs politiques, ‘les définitions ont été modifiées et les données préparées’ aux CDC, au point même de déformer les données au Congrès.
Comme l’OMS, les CDC ont l’habitude de promouvoir des vaccins nocifs.
Un exemple est couvert dans un document de 60 minutes.
Il expose les dommages causés par le vaccin contre la grippe porcine en 1976; et, les CDC ont exhorté tous les Américains à s’injecter ce vaccin nocif.
Le rapport révèle que la maladie a été médiatisée sur la base de données très discutables. Et, le vaccin a causé des dommages neurologiques.
L’actuel directeur des CDC est Robert Redfield, le médecin à la retraite de l’armée américaine.
Il est connu pour avoir dirigé la réponse désastreuse au Pentagone du VIH-SIDA des années 1980.
‘Un fervent catholique, Redfield considérait le sida comme le produit d’une société immorale.
Pendant de nombreuses années, il a défendu un remède très médiatisé qui a été discrédité dans les tests.
En 1994, cette débâcle a conduit à son licenciement.’
Laurie Garrett, la journaliste de santé publique, a déclaré:
‘Redfield est à peu près la pire personne à laquelle vous pourriez penser pour diriger les CDC en ce moment.
Il laisse ses préjugés interférer avec la science, ce que vous ne pouvez pas vous permettre pendant une pandémie.’
Les CDC sont une agence au sein du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS).
Alex Azar, avocat et ancien dirigeant d’une société pharmaceutique, a été nommé secrétaire du HHS en 2017.
Azar a des liens étroits avec l’industrie pharmaceutique. Et, il est connu pour avoir pratiqué des hausses de prix avec son ancien employeur.
De plus, Azar est connu par sa gestion au HHS de la première attaque bioterroriste connue contre les États-Unis, la réponse de la peur à l’anthrax de 2001.
Les attaques à l’anthrax ont visé des membres du Congrès et les médias qui étaient des voix dissidentes au débat national sur le Patriot Act [PA].
Le PA est une loi oppressive introduite immédiatement après les attentats du 11 septembre.
Tout d’abord, les musulmans sont blâmés par des preuves hautement discutables; mais finalement, il a été découvert que l’anthrax militarisé provenait de laboratoires militaires américains.
En 2018, en étroite collaboration avec John Bolton, Azar a joué un rôle déterminant dans la définition de la stratégie nationale de biodéfense.
Bolton est le conseiller à la sécurité nationale de Trump.
Bolton, un néoconservateur et un membre du ‘Project for a New American Century’ (PNAC), a une longue histoire de promotion de politiques autoritaires et de guerre.
Aux États-Unis, la personne la plus visible en charge de la réponse au COVID-19 est Anthony Fauci.
Fauci est le directeur de longue date du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID).
Comme Redfield, le Dr Fauci est catholique et, il a déclaré que, les valeurs qu’il a apprise dans son éducation jésuite continuent de le guider.
Après des semaines de direction par Fauci pour la réponse au coronavirus, nous apprenons que son NIAID a financé la recherche de ‘gain de fonction’ au laboratoire de Wuhan; d’où le virus SARS-COV-2 est soupçonné d’être originaire.
Plutôt que d’aborder directement les questions sur cette coïncidence inexplicable, Fauci répond simplement en dénonçant les ‘théories du complot’, tout comme d’autres l’ont fait, lorsqu’ils ont été interrogés sur la prè-connaissance du 11 septembre 2001.
Quant au SRAS-COV-2, obtenu par génie génétique dans un laboratoire comme celui de Wuhan financé par le NIAID, est un sujet intéressant de nombreux scientifiques.
Le laboratoire de Wuhan n’est cependant pas le seul endroit où les États-Unis soutiennent de tels travaux; puisque, le Pentagone finance de tels laboratoires dans 25 pays à travers le monde.
Ils sont situés dans des endroits tels que l’Europe de l’Est, le Moyen-Orient, l’Asie du Sud-Est et l’Afrique. Ces laboratoires isolent et manipulent des virus, comme les coronavirus de chauve-souris, lequel est à l’origine du SRAS-COV-2.
Ce programme de recherche sur les chauves-souris est en outre coordonné par un groupe appelé EcoHealth Alliance.
La manipulation de virus pour gain de fonction, dans des laboratoires financés par les États-Unis tel que l’anthrax militarisé, est la preuve que le bioterrorisme et les pandémies seraient des événements fabriqués.
La peur du coronavirus est une manière différente de refléter la guerre contre le terrorisme et la guerre contre le communisme.
Des guerres qui ont été motivées par des événements terroristes fabriqués.
Il est étonnant que Fauci, en finançant des travaux pour manipuler les coronavirus, est devenu la voix de la réponse à cette pandémie pendant qu’il travaillait étroitement avec le programme GAVI de Bill Gates.
Fauci s’est vanté que, le NIAID et GAVI travaillent ensemble pour promouvoir les vaccins avec ‘notre collaboration franche pour établir la norme de ce qui est nécessaire’.
Cette affaire a permis de constater qu’un nouveau modèle de pandémies médiatisées, entraînant un contrôle accru de la population et des vaccinations mondiales, est possible.
Et, qu’elle constituerait un modèle commercial très lucratif.
Le NHS et Corporate Nations
À présent, il est bien connu que, les projections initiales de décès dues au COVID-19 ont été massivement surestimées.
Et, qu’un article universitaire était responsable de la panique.
Son principal auteur, Neil Ferguson de Imperial College, a depuis démissioné de son poste de conseiller gouvernemental.
Tout comme l’explication du gouvernement américain sur la destruction des bâtiments du World Trade Center, ses estimations sont basées sur des modèles informatiques. Et, ils ne peuvent pas être partagés avec le public.
Comme aux États-Unis, les agences de renseignement britanniques ont joué un rôle de premier plan dans la gestion de la peur du coronavirus.
L’expert en terrorisme, qui devrait être le prochain chef du MI6, a été sélectionné pour diriger un nouveau ‘centre de biosécurité‘ pour évaluer la menace du coronavirus et ‘permettre une intervention rapide‘.
De plus, l’agence de renseignement britannique, le Government Communication Headquarters (GCHQ), a obtenu des pouvoirs sur les systèmes informatiques du NHS.
Le GCHQ est connu pour se livrer à des activités illégales liées aux mécanismes de contrôle de la population, telle que la surveillance de masse.
Le dénouement final totalitaire est réalisé grâce à la société Palantir du milliardaire Peter Thiel, un initié de la CIA.
Thiel gère les bases de données utilisées par les CDC et le NHS britannique; lesquelles stimulent la prise de décisions liées à la COVID-19.
En fait, en 2009 Thiel a déclaré:
‘Je ne crois plus que la liberté et la démocratie sont compatibles’.
Il fournit un autre indice, que la santé publique et la sensibilisation ne sont pas les principales priorités derrière la peur du coronavirus.
Les données à l’origine de la pandémie du COVID-19 n’ont jamais été fiables.
Les kits de test étant inexacts, les politiques gouvernementales ont gonflé le nombre de décès. Et, les médias se concentrent uniquement sur des prédictions basées sur la peur.
Et, ces prédictions se sont révélées fausses à plusieurs reprises.
Récemment, des scientifiques et des chefs de gouvernement de pays, dont la Russie, l’Allemagne et le Danemark, ont commencé à dénoncer l’exagération de la menace du coronavirus.
Les résultats de la peur du coronavirus ont inclus d’énormes aubaines pour les milliardaires, les institutions financières et les entreprises.
La législation adoptée en réponse au COVID-19 est grandement bénéfique aux intérêts des entreprises.
Les résultats pour les autres couches de la société ont été la peur, le chômage, la pauvreté, la perte de libertés, de graves risques à la démocratie et la mort.
Ces faits ont été rendus possible car les gouvernements et les nations qu’ils représentent ne sont plus ce qu’ils étaient.
À bien des égards, les entreprises ont remplacé les gouvernements, en tant que moteurs de la politique publique; et, l’intérêt du public n’est pas leur préoccupation (comme pour le cas de Palantir de Peter Thiel).
Pendant ce temps, plus de 24 entreprises sont devenues plus grandes et plus puissantes que plusieurs gouvernements nationaux.
Par conséquent, les gouvernements sont désormais de fausses façades pour les entreprises et leurs décisions, comme pour confiner les citoyens et refaire leur économie.
Les décisions sont motivées par des stratégies basées sur le profit et, elles sont indifférentes aux intérêts publics.
En résumé, les caractéristiques et les résultats de la peur du coronavirus reflètent ceux des opérations psychologiques précédentes; incluant la guerre contre le terrorisme et son prédécesseur, la guerre contre le communisme.
Les personnes et les agences à l’origine de la peur du coronavirus ont des antécédents contraires à l’éthique; ce qui inclut le battage médiatique des pandémies pour pousser à la vaccination.
Et, ils semblent rechercher des bénéfices sur le long terme grâce à la mise en œuvre d’une société hautement contrôlée.
Pour ces raisons, la réponse au COVID-19, à défaut du virus lui-même, peut être considérée comme une opération psychologique utilisée dans le but d’obtenir leurs résultats décisifs.
Article ‘Is the Coronavirus Scare a Psychological Operation?‘, 3 juin 2020
sur Dig Within
[Des passages sont résumés.]
Mises à jour et Autres
- Le pionnier de Facebook Peter Thiel investit dans les anticorps anti-coronavirus – mai 2020, manager-magazin… [en allemand]
Tag vaccins / vaccins / psyops
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